AVEN

Sa signification vient du fait que l’histoire est aussi noire que vertigineuse.
Un gouffre, un puits sans fond, aussi glauque que l’âme humaine du principal protagoniste, mais gouffre ou puits aurait été moche, donc ce titre sonne mieux en plus ce n’est pas un mot très courant et ça sonne mystère et ambiguïté, un trou noir qui tombe à pic parmi les entrelacs d’un esprit torturé.

Je vous propose d’être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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A propos de l’auteur

Derrière chaque ligne, il y a une vie : celle d’un homme au parcours atypique. Une enfance contrastée entre défis et émerveillements, suivie d’une jeunesse marquée par la consécration sportive. Dès 15 ans, il se plonge dans les arts martiaux et décroche à 20 ans une ceinture noire 1er dan. Son palmarès parle de lui-même : 107 combats, 106 victoires, plusieurs titres internationaux, et six fois champion du monde entre 1986 et 1990. Après un dernier combat victorieux en 1995, il tourne la page du ring.
Son aventure ne s’arrête pas là. Garde du corps des Pink Floyd pendant deux ans, dirigeant d’une société de sécurité, puis acteur de films en Chine et en Russie, il a exploré de nombreux univers avant de se heurter aux défis de la vie : pertes, séparations, errances.
C’est dans le Grand Nord canadien, auprès de la nation Cree, qu’il trouve une nouvelle voie. Perdu au cœur des forêts et des lacs, loin du tumulte, il commence à écrire. Ce qui débute comme une thérapie devient une passion dévorante. Depuis 2014, il n’a jamais cessé d’écrire.
Aujourd’hui, à la tête d’un club de sport qu’il dirige avec son fils, il continue de remplir les pages de récits qui captivent. Passionné par les œuvres de Stephen King, Franck Thilliez, et Maxime Chattam, il puise cependant son inspiration dans sa propre imagination débordante.
Ses romans, mêlant vérité et fiction, explorent le Thriller et le Fantastique. Entre tension et mystère, il livre des histoires qui fascinent, terrifient, et touchent en plein cœur.

Aven, est une descente aux enfers pour un être perturbé, un artiste plutôt dangereux mais je ne veux pas révéler les points essentiels, c’est une trame qui se tisse comme une toile d’araignée au fil des pages pour entrainer le lecteur dans les retranchements noirs et glauques de l’âme humaine, le perdre dans les labyrinthes d’un esprit malade.
Un thriller ‘’ dark’’, un polar ambigu.
Son originalité tient dans le fait que cela peut être une histoire vraie mais qu’il s’agit bien évidemment d’une fiction.
C’est un thriller dérangeant pour un public averti qui aime ce genre de récits à la limite de l’horreur, entre suspense et chocs émotionnels.

Extrait du livre

Tandis qu’à l’autre bout du monde, en Californie du côté de Los Angeles, au Capitol Records Building, une tour située à Hollywood, siège social du label Capitol Records, une maison d’édition de disques devenue une filiale d’Universal Music Group, un drame s’y joue en ce moment même et s’intensifie au fil des minutes qui s’égrainent.
Dans l’après-midi un individu louche a enlevé son blouson laissant apparaître un gilet bourré d’explosif, en outre il porte un Glock à la ceinture et de plus, il est en possession d’une arme lourde, une Kalachnikov.
Pour l’instant il n’a rien revendiqué et n’a encore fait aucune demande, il a obligé les deux agents de sécurité à fermer toutes les issues, entrées et sorties sont bloquées de l’intérieur, à présent, le bâtiment est coupé du reste du monde.
La police et le FBI viennent d’en prendre connaissance. Un négociateur ne va plus tarder à arriver. Des hélicoptères survolent déjà la zone, tandis que des reporters TV s’empressent d’arriver dans les environs d’Hollywood Boulevard. La situation s’envenime rapidement, l’individu a mis en joue les deux agents de sécurité, qui sont à genoux, les bras repliés derrière la tête.
Soudain, l’improbable se déroule sous les yeux des témoins bloqués dans la tour hollywoodienne. L’homme abat de sang-froid les deux agents de sécurité, une balle en pleine tête pour chacun. Tout s’est passé trop vite pour que quiconque réalise l’ampleur de cette tragédie.
Cet homme ne plaisante pas. Malgré l’absence de clarté sur ses motivations, sa détermination est implacable. Alors que toutes les personnes présentes sont en proie à la terreur, certaines femmes deviennent hystériques. L’individu tire plusieurs rafales et intime à tout le monde de s’allonger à plat ventre sur le sol, les mains derrière la tête, sans bouger.
Grâce aux écrans de télésurveillance, il constate que la plupart des gens se trouvent avec lui, au rez-de-chaussée, mais quelques-uns sont encore répartis dans tous les étages de la tour, c’est alors qu’il fait retentir l’alarme incendie puis à l’aide du micro, il demande à toutes les personnes qui sont encore dans les bureaux de descendre rapidement, à cause de l’alerte au feu, les gens qui ne connaissent pas la véritable raison de se foutoir, se dépêche de descendre, ils tombent des nues lorsqu’ils réalisent enfin la situation, à présent tout le monde est en bas, allongé à plat ventre, les mains sur la nuque.
Au départ, l’individu a pris trente-huit personnes en otage, mais avec la mort des deux gardiens, on comptabilise trente-six survivants…
Les heures s’égrainent sans qu’il n’y ait aucune intervention venant de l’extérieur, aucun contact n’est établi avec les autorités. L’homme attend sans broncher, mettant en joue tous les otages.
Les deux agents abattus à bout portant ont le crâne éclaté, la cervelle en bouillie et gisent dans une flaque de sang, à la vision de cette scène cauchemardesque les otages sont terrorisés et ne bougent pas d’une oreille, certaines femmes tremblent et se sont urinées dessus, les hommes qui pour la plupart sont des bureaucrates ne prennent aucune initiative, leur halètement souligne toute la peur qu’ils ont de mourir.
Mass murderer, fou furieux, terroriste djihadiste endoctriné ?
Motivé par l’argent ou par une foi satanique ?
Tous les otages se posent intérieurement ses questions, ils sont conscients de vivre l’enfer, comment vont-ils pouvoir s’en sortir indemne ?
Soudain, la sonnerie du téléphone de l’accueil retentit comme un réveil matinal qui fait sursauter tout le monde, l’homme toujours bardé de son gilet d’explosif décroche, il s’assoit à moitié sur le comptoir, son autre jambe repose sur une chaise, son Glock dans le holster, il tient le combiné téléphonique d’une main et de l’autre la Kalachnikov qui toutefois est posée sur le comptoir, un rictus déforme les commissures de sa bouche, ses petits yeux alertes tournent dans tous les sens, son regard est des plus cruel.
Les otages sont au bout de leur vie, certains se sont même évanouis, tandis que d’autres ont vomi leurs tripes en apercevant les deux cadavres ensanglantés des agents de sécurité, qui n’ont plus de visage ni de cuir chevelu et dont la moitié de leur tête a été arrachée.
L’homme écoute un moment avant de répondre, puis il déclare que sur les trente-huit otages, il n’en reste que trente-six, vu qu’il a tué les deux vigiles, il ne plaisante pas, il va en tuer d’autres si un négociateur ne se pointe pas rapidement pour entendre ses doléances, puis il raccroche…
Au bout d’un long moment qui semble avoir duré des heures, le téléphone sonne à nouveau !
Lorsque le preneur d’otages décroche le combiné, le capitaine Winnie Le Brown du département de la police de Los Angeles se présente puis lui demande aussitôt ce qu’il veut obtenir en échange de la libération des otages ?
Envoyez-moi votre négociateur, je ne parle pas à un policier corrompu !
Quoi, mais qu’est-ce que vous racontez, je suis le capitaine de la police de Los Angeles !
Oui, ben justement, vous avez zappé les casseroles de corruption que cette police de merde traîne derrière elle depuis des années, si certaines personnes vous couvrent et que d’autres ont oubliés, pas moi !
OK, OK ! Je vous envoie un négociateur !
Le preneur d’otages avait déjà raccroché…
Le capitaine Winnie Le Brown s’activa, entre énervement et précipitation.
Il réunit tous ses hommes pour une concertation générale, appelez-moi d’urgence Norton, c’est notre meilleur négociateur…
Norton Brando est psychologue et hypnotiseur, il a recours à l’hypnothérapie pour effectuer ses missions, ça fait dix ans qu’il est en poste au LAPD.
Capitaine ! Norton au téléphone…
Salut Norton, on a une prise d’otages sur Hollywood, on ne sait rien du preneur d’otages ni de qui il s’agit ni quelles sont ses exigences !
Salut capitaine, désolé, je suis à Malibu en train de surfer, je ne peux pas venir !
Norton Brando, tu te fous de ma gueule ?
Oui chef…
Bon, fonce à la tour du Capitol Records, je n’ai pas du tout envie de rigoler, 1750 Vine Street, je t’attends sur place pour te briffer.
OK capitaine, j’arrive…
Deux hélicoptères survolent la zone, un de LAPD et un autre d’une chaîne de TV, le block est cerné par la police de Los Angeles et le FBI, en retrait il y a le SWAT qui se dissimule derrière le coin des rues, dans les étages environnants et même à plat ventre sous des voitures.
Les reporters se bousculent au portillon…
Une foule de badauds s’est agglutinés aux intersections entre Sunset boulevard et Vine Street.
Norton Brando eut beaucoup de mal à traverser tous les barrages pour parvenir au pied de la tour, lorsque le capitaine l’aperçut, il lui fit de grands signes, Norton Brando pressa le pas jusqu’à lui.
Alors voilà le topo, tu déposes tes armes, tu marches les mains en l’air jusqu’à la porte de la tour, tu t’immobilises et tu attends que le mec vienne t’ouvrir, ensuite tu traites avec lui, et tu nous fais savoir ce qu’il veut, pas de faux pas, il y a trente-six vies en jeu, OK t’es prêt Norton ?
Pas le choix, je vous laisse mon téléphone portable et mon Glock capitaine, on se joindra avec le téléphone fixe de la tour, allez go et que Dieu m’accompagne !
Lorsque Norton atteignit la porte d’entrée, il s’immobilisa les mains en l’air, soudain la porte s’entrebâilla…
Salut, c’est toi le négociateur !
Oui c’est moi, je viens pour clarifier la situation et arranger les choses !
Déjà mon pote, pour commencer tu te fous à poil !
Comment ça !
T’enlèves tes fringues, c’est trop compliqué à comprendre !
Je ne suis pas un chippendale, répondit calmement Norton. Commence pas à jouer au plus malin, tu te déshabilles complètement, tu gardes juste ton caleçon, rien d’autre, au cas ou tu aurais planqué une arme ou un micro !
Norton s’exécuta, OK, pas de problème !
L’homme le fit entrer puis le poussa brutalement devant lui avec sa Kalachnikov, allez blaireau avance jusqu’à l’accueil !
Tous les otages étaient étendus sur le sol, les mains collées sur leur nuque, un peu plus loin, Norton aperçut les deux cadavres des agents de sécurité, une flaque de sang couleur ambre avait séché tout autour de leur tête, dessinant une auréole d’un brun rougeâtre…
Alors t’es qui toi, exactement ?
Je suis le négociateur du département de la police de Los Angeles plus connu sous les initiales LAPD, je m’appelle Norton Brando…
Bien, j’espère que tu auras le pouvoir d’exécuter à la lettre toutes mes exigences !
Je vais essayer !
Comment ça tu vas essayer !
Oui, je veux dire, on va faire pour le mieux !
Et c’est quoi au juste le mieux pour toi ?
C’est de conclure un marché !
OK ça me va !
À qui ai-je l’honneur ?
Moi, je m’appelle Kevin Platz, mais tu peux m’appeler Kevin !
OK, alors Kevin, par quoi on commence ?
Par bouffer et par boire !
Vas-y, je t’écoute, passe ta commande !
Ah toi t’as l’air d’être un mec cool, si tu déconnes pas, on va pouvoir passer un accord !
Très bien, ça marche !
Alors tu vas téléphoner à qui il faut, je présume que ton interlocuteur va être ce connard de capitaine Winnie l’ourson !
Winnie Le Brown plus exactement !
Ouais, mais moi j’l’appelle comme bon me semble !
Donc, tu fais préparer des menus best of pour tout le monde !
Attention, pas de McDonald’s, pas de Burger King, ni de KFC !
Uniquement, Wendy’s , Carl’s Jr ou Taco Bell !
Tu fais rajouter, des bouteilles d’eau et du Coca !
Moi je veux en plus un milk shake vanille et un café de chez Starbuck’s, un caramel macchiato !
Ça roule clama Norton en décrochant le téléphone…
Une nuit de velours était retombée comme le rideau d’une fin de spectacle, pourtant ce n’était ni une pièce de théâtre ni la scène d’un film, on était à Hollywood mais c’était en vrai, une tragédie morbide, un polar glauque, un suspense insoutenable, un thriller des plus pervers, en mode réalité…
La tiédeur du soir et l’environnement rappelait que la clim était en panne, c’était pas le mois le plus chaud, mais pour une fois au lieu d’une nuit fraîche comme d’habitude à Los Angeles, une lourdeur pesait dans l’atmosphère, de plus, toute la peur que partageait les otages les faisait transpirés et même suffoqués…
Alors Kevin, quelle est la motivation qui t’a poussé à mettre un pareil foutoir, laisse-moi deviner, tu n’es pas un terroriste djihadiste, même si tu te comportes comme tel avec ton gilet de kamikaze bourré d’explosif, tu n’es pas non plus un suprémaciste blanc qui en veut à la politique du gouvernement, tu n’es pas un complotiste qui a pété les plombs, ni un mass murderer qui veut tuer le plus de monde possible avant de se faire sauter la cervelle, donc est-ce que ce ne serait pas tout simplement pour l’argent ?
Tu en es venu à cet acte perfide, pour une rançon de plusieurs millions de dollars, pour libérer tous ces pauvres gens innocents il va falloir aligner les billets, c’est ça hein, vas-y Kevin, balance toute la vérité, je dois connaître tes exigences si tu veux les obtenir…
On se calme monsieur le négociateur, ne gâche pas tout mon pote, ça serait dommage que je bute tout le monde sur un coup de tête, y compris toi en prime !
Je viens du Texas, je suis de Fredericksburg, un bled situé à cent vingt kilomètres d’Austin, mes ancêtres venaient probablement d’Allemagne.
Je suis arrivé en Californie y’a cinq ans, je travaille dans le bâtiment, je sais tout faire, menuiserie, électricité, plomberie, j’ai côtoyé pas mal de stars, qui ont fait appel à mon patron, mais c’est moi qui ai bossé chez eux, dans leurs sublimes baraques de ouf, j’ai nettoyé et entretenu leurs piscines pendant trop longtemps !
J’ai même refait la plomberie chez Stallone, l’électricité chez Will Smith, j’ai même travaillé pour les studios et réalisé des pièces de menuiserie, pour faire certains décors et notamment pour la Warner Bros.
Les maisons de Berverly Hills et de Bel Air n’ont plus de secret pour moi, tu vois par contre, ce qui m’a toujours manqué ce n’est pas l’argent mais plutôt de la considération, qu’on me parle comme si j’étais quelqu’un d’aussi important qu’eux, car finalement ce sont des personnes banales, et même des bouffons pour certains, ça se la pète, mais ce ne sont que des gens superficiels et imbus de leur personne, ils croient qu’ils restent des personnages même en dehors de leurs films, des stars de merde…
Bon, très bien Kevin, je te comprends, mais alors qu’est-ce que tu veux en échange de la libération des otages ?
Je veux baiser Madonna !
Attends Kevin, je n’ai pas bien saisi là !
Ben quoi, qu’est-ce qu’il y a de pas clair, c’est pourtant facile à comprendre ?
Si on t’amène Madonna sur un plateau et que tu fais l’amour avec elle, en échange tu laisses partir tous les otages, t’es sérieux là ?
Oui, c’est exactement ça, je veux faire l’amour avec Madonna, rien d’autre et après, tous les otages pourront rentrer chez eux !
C’est carrément hallucinant, mais si c’est ce que tu veux, je vais faire l’impossible !
Très bien, alors au boulot mon pote !
Norton rassura les otages, ne vous en faites pas tout va s’arranger !
Kevin l’accompagna jusqu’à la sortie, puis lui chuchota, assure ce coup sinon vas-y avoir du grabuge, Madonna et rien d’autre, t’a compris mon pote !
Oui, j’ai capté !
Tandis que Kevin refermait la porte derrière lui, Norton se rhabilla puis s’éloigna doucement, ses pas étaient empreints de réflexion, quelle merde lui souffla une petite voix intérieure…
Après avoir quitté le périmètre sous surveillance, Norton rejoignit le capitaine qui paraissait pressé de s’enquérir de la situation.
Norton lui raconta tout, jusque dans les moindres détails, le capitaine tout en buvant ces paroles restait dubitatif.
Norton c’est encore une plaisanterie à la con, une de tes blagues pourries !
Non pas du tout capitaine, c’est la triste réalité, si on ne lui refile pas Madonna pour une partie de jambes en l’air, il va butter tous les otages !
Putain de merde !
Le capitaine Winnie Le Brown appela à l’aide trois de ses hommes.
Bon voilà le topo les gars, toi tu t’occupes de trouver Madonna et de la joindre, maison de disque, maison de production, attaché de presse, agent, secrétaire, tu remues ciel et terre pour la trouver, qu’elle soit à L.A. au Portugal ou sur mars !
Toi tu contactes l’agence des sosies des célébrités et tu me déniches la copie conforme de Madonna, non mieux que ça, son clone !
Et toi, tu fais en sorte de prévenir tous les médias, ça doit se savoir, pour que l’affaire devienne internationale, Norton tu restes dans les parages dès qu’on est prêt tu remets le couvert avec l’autre zouave !
Je vais au coin de la rue, souffler un peu et manger un morceau !
OK on reste en contact !
Norton baissa la tête et murmura des mots inaudibles, puis il s’éclipsa furtivement pour rejoindre le petit coffee shop du coin de la rue…
Kevin Platz était aux anges, il écoutait dans son casque audio toute la playliste de la reine de la pop, Holiday, like a virgin, like a prayer, papa don’t preach, la isla bonita, erotica, frozen, push, die an another day.

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