Ça s’appellera : « Au Revoir »
d’Eric Le Grossec
Recueil de poésie qui se veut de poésie philosophique, alliant des influences de Maurice Rollinat et du Poème de Parménide ; les poèmes soulèvent souvent des questionnements sur le Monde, Autrui, ou bien même, soi-même !
Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus !
Retrouvez l’auteur sur son site personnel.
Je dois avouer que ce ne fut pas si simple que cela de finaliser ce projet de recueil. Il en ressort des choses qui me poussent à dire, autour de la thématique de : « l’au revoir », cette notion de sentiment de futilité, sinon de non-continuité dans le travail d’écriture.
Je ne savais vraiment par quoi commencer, alors, j’ai choisi tout simplement d’explorer, sous différents angles, les thématiques que vous avez peut-être lues au travers de mes autres recueils de poésie.
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Extrait de Ça s’appellera : « Au Revoir » d’Eric le Grossec
Où aller, je ne le puis plus, la pluie confond ainsi l’horizon
D’un point de fuite qui n’existant plus, me laisse béant
D’un organe – Ô corps sans organes – sans plus aucune émotion.
Devant la technologie je reste, devant une machine, séant.
L’A.I. prend déjà ma place et les regrets des temps passés,
Lorsque mon cœur ne divagant pas alors, se fichait des années
A venir, ou bien passées.
Patience est mère de toute vertu, nous dit la sagesse popu,
Mais d’attendre, je n’en puis plus.
A venir ou bien dépassé.
Les îlots ne sont que de béton, et les flots, sont des larmes bien
Trop souvent étouffées, comme mon cœur, qui ne pouvait plus les supporter
Il nous faudrait décider, enfin, ce que veut dire la notion de Bien
D’Un, de Beau, avant que comme les forêts, nous ne fassions tout brûler.
Je préfèrerais l’oublier, ou m’y perdre dans cette immense cité,
Sus citée, immensité démesurée de notre envie de plus briller.
En société cela va de soi, soit l’un soit l’autre, qu’importe,
Un jour quelqu’un, mon cœur me rapportera,
– Tôt ou tard, qu’importe ? –
Attention à la Beaume, le vent peut-être tournera !
Qu’importe ?
Contreparties
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Les étapes de création
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