Le paradigme existentiel

Je suis un jeune auteur, normalien, qui présente son premier ouvrage dans le but de publier une pensée philosophique intrinsèque à tous les êtres. Il s’agit d’apporter une vision novatrice du rapport de l’être au monde au travers d’une nouvelle thèse intitulée : le déshumanisme.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !

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Il s’agit d’un court essai philosophique, s’apparentant à un manifeste, au sein duquel une nouvelle thèse ontologique est avancée : le déshumanisme. Le leitmotiv de celle-ci est le suivant : dans le strict cadre d’une abstraction des plus absolues, la seule finalité de l’être est le néant. Ladite pensée est développée en s’appuyant sur la pensée d’auteurs très éminents tels que Sartre, Camus ou encore Nietzsche.
Il n’est question ici que d’une introduction à une pensée qui sera étayée en profondeur ultérieurement au travers d’un ouvrage bien plus conséquent. Ce n’est que le début d’un projet philosophique sur le long terme.


« Dès l’instant où le mot de thèse, de doctrine, d’idéologie ou simplement de pensée est apposé devant le mot “déshumanisme”, cette même “idée” – la grammaire a déjà eu raison de la philosophie – est en elle-même réduite au néant mais renaît dès que l’être ne s’en préoccupe plus. On a donc affaire à une thèse – encore perdu – phénix qui se meurt et ressuscite indéfiniment, ou du moins se meurt tant qu’il y aura des Hommes pour la concevoir. En somme, elle existe depuis toujours mais cette œuvre la détruit en l’invoquant. C’est le propre de l’Homme de détruire et de triturer les idées en les sortant d’un néant primordial. De toute évidence, les idées émanent d’une conscience. Cependant la doctrine – on l’aura compris, le jeu grammatical est perdu d’avance donc, par la suite, les termes désignant le déshumanisme seront en italique – ici présentée rejette toute forme humaine ou, plus généralement, l’ensemble exhaustif des êtres doués de réflexion – a fortiori les Hommes mais sait-on jamais. Elle est sans être : elle a toujours régné au sein d’un vide absolu où elle était tout, c’est-à-dire rien. Comment “la visualiser” ? D’ailleurs, pourquoi l’auteur veut-il, une fois de plus, asseoir la suprématie rétinienne en parlant de “visualisation d’une thèse philosophique” – à supposer que cela ait le moindre sens ? Très certainement parce que l’objet de la cornée est la substantifique moelle de cette “pensée”. Nous y reviendrons. Ainsi, de quelle manière est-il possible de faire ce que j’appellerai l’expérience du déshumanisme ? »

  • Le budget souhaité

    Mon budget idéal serait de 990 €. La publication nécessite de participer à la correction, la mise en page, l’impression et la commercialisation afin que ce travail de création soit le mieux valorisé possible. Les participations seront réparties de cette manière : – 20 % pour la correction, la mise en page et la création de la couverture ; – 55 % pour l’impression. – 25 % pour la promotion. C’est pourquoi aujourd’hui je fais appel à vous, auteurs, lecteurs, passionnés de lecture ! Votre soutien me sera précieux et c’est pourquoi je vous propose différentes contreparties en échange de votre aimable soutien.