En amour, on peut toujours rebondir même si on est dans la désespérance, j’appellerais cela de la résilience amoureuse et c’est mon thème. Son originalité, l’amour plus fort que le sexe et je le démontre à travers mon vécu et celui de ma compagne. Mon livre s’adresse à des adultes avertis, qui se reconnaitront dans mon parcours et qui auront envie de m’accompagner dans le succès de ce livre.

C’est l’amour pour ma compagne qui m’a inspiré pour écrire ce livre, mon aspiration, c’est qu’il dure toujours.

Extrait du livre :

A l’entrée de son immeuble, bien cachés derrière la porte, j’aimais bien l’avoir serrée dans mes bras, sentir son corps tout contre le mien et au fil de nos baisers, je m’aventurais à lui faire mes premières caresses assez chastes d’abord et puis plus ciblées sur ses jolies rondeurs et elle me laissait faire. J’avoue que je n’osais pas aller plus loin mais une fois au cinéma, dans le noir, je pris le risque de glisser une main sous sa jupe et de remonter pour découvrir cette bande de peau très douce entre le bas et la culotte et elle n’a pas retenu ma main, son corps m’appartenait. Et puis, j’ai réalisé qu’elle était celle que j’attendais, qu’elle était la femme de ma vie. Effectivement, elle remplissait toutes les cases que je m’étais fixées, elle était belle, intelligente, j’étais son tout premier et je l’aimais.
Et puis, une fois encore j’allais droit dans le mur et ça allait faire mal. On ne se quittait plus, on s’enlaçait, on s’embrassait, elle me laissait la caresser et pour moi, c’était la meilleure preuve que mon amour était partagé mais non, en réalité ses sentiments n’étaient pas encore à la hauteur des miens. Pour elle, ça allait beaucoup trop vite, pourtant c’est vrai, je lui plaisais et elle se sentait bien avec moi, mais j’étais son tout premier et elle n’était pas certaine de son amour pour moi. Honnête, à plusieurs reprises elle eut envie de tout arrêter car elle ne voulait pas se mentir et me mentir sur la réalité de ses sentiments mais elle se retenait par crainte de me faire mal et puis elle attendait le bon moment pour en parler. C’est vrai aussi qu’au fil de nos baisers, de nos étreintes et de nos caresses, je la sentais se raidir un peu mais comme un con je ne m’en rendais pas compte et j’allais en payer le prix.
Marie, le soir avait l’habitude de venir me chercher à la sortie du boulot et main dans la main, je la raccompagnais chez elle. Avant de se quitter, dans l’entrée de son immeuble, on passait un bon moment à s’embrasser, à se caresser et à se dire des mots d’amour. Ce soir là, je sentais qu’il y avait un problème. Déjà, c’est à peine si je pus l’embrasser sur les lèvres et c’est avec réticence qu’elle me permit de lui prendre la main pour faire le trajet jusqu’à son domicile. Je commençais à être pas bien du tout, elle ne disait pas un mot et ce n’est qu’arrivé au pied de son immeuble qu’elle se décida à me parler. Ce fut comme un gouffre qui s’ouvrait sous mes pieds quand elle m’avoua son incertitude quant aux sentiments qu’elle avait pour moi. Bien sûr, elle le dit avec tact et gentillesse et je dus lui faire répéter car je n’en croyais pas mes oreilles, comment elle pouvait me dire ça, moi qui l’aimait comme un fou. Elle pouvait voir mon visage se décomposer sous le choc de cette révélation et cela lui fit très peur. Elle me prit alors dans ses bras et me susurra à l’oreille qu’elle ne me rejetait pas mais qu’elle avait besoin d’un peu de temps pour faire le ménage dans son cœur. Je ne l’écoutais plus, Je me détachais alors de ses bras et sans un mot je m’enfuis fou de douleur et complètement détruit par ce qu’elle m’avait avoué.