Il s’agit d’une approche personnelle, que tout un chacun peut appréhender.
Des petites phrases émergent à la conscience sans y être invitées. Mais elles sont là. Impossible de les ignorer. Des idées, des pensées, des mots ou des phrases, que nous ne pensions jamais avoir.
À la longue, plusieurs sujets, plusieurs thèmes apparaissent et interrogent.
Une recherche d’interprétation, un dialogue s’impose avec soi-même.
J’apporte dans cet ouvrage une vision nouvelle sur des sujets « existentiels », pour et à travers une approche simple et réellement vécue.
Dans le cadre d’un apprentissage, cet écrit peut aider à accéder à la façon de gérer ses options, ses choix, même dans un autre cadre que la recherche de soi, par un élargissement d’accès à ses propres données.

…

Aussi,
Ne rejetons pas l’absurde, car il fait partie de votre quotidien,
Ne rejetons pas le fantastique, il nous entoure et fait partie de votre quotidien,
Ne rejetons pas la folie, elle fait partie de la créativité,
Ne rejetons pas l’aventure de notre esprit, qui nous entraîne dans la découverte.
Ne rejetons pas l’imagination qui, au-delà de sa créativité, permet au mental d’investir dans ses ressources, instaurer de nouvelles structures. Elle développe l’intuition, des échanges cérébraux à différents nivaux, en ouvrant sur un espace « supérieur » loin de l’utopie de l’apparence.
Les limites que nous nous imposons ne sont pas tangibles. Les reconnaître, de les intégrer à notre compréhension, permet de les manipuler, les corriger, d’élargir nos concepts, pour les dépasser.
– Car la conformité est aux antipodes de l’égalité, la vérité et de la réalité.
Être différent, sortir des conformités sociales ou autres, rassurantes, mais infantiles, n’est pas s’opposer, vouloir forcément sortir d’une société. C’est mettre ses chances de ses propres capacités à légale des autres. C’est d’être juste avec sa propre réalité.

Pourquoi le monologue de l’inspiration ?
Parce que l’inspiration nous permet une véritable liaison avec nos ressources intérieures.
On considère que l’inspiration vendrait d’une source extérieure à soi et serions que le réceptacle de données ne nous appartenant pas.
L’inspiration serait-elle donc comme un rythme respiratoire du souffle créateur réservé à certains ?

Le créateur, l’artiste, le « génie » serait ainsi celui qui sait capter ces informations.
Même à supposer que cette intuition puisse venir des sphères supérieures, cette démarche reste essentiellement intérieure. Elle nous amène ainsi à notre propre souffle créateur, ou plutôt à une investigation silencieuse, suggestive, qui influence une emprise dans la construction de notre pensée, nos réflexions, nos décisions, pour extérioriser les impacts resurgissant de l’instant.
L’inspiration est un espace donnant la possibilité au mécanisme cérébrale de permettre à ses multiples attributs le constituant, de formuler en dehors du contexte de la « raison ».
En fait, elle est un mélange subtil, entre les deux hémisphères cérébraux, entre l’abstrait et le raisonnement, entre la sensibilité et notre réalité.
……
Mais, il y a de temps en temps des pensées, des idées qui nous ne pensions jamais avoir.
Elles se manifestent inopinément et jaillissent à notre conscience à notre insu. La phrase est là, son emprise s’inscrit et s’impose.
Prenons un exemple :
« Comment est le carré de la poésie ? ».
– ?
Cela ne correspond à rien. Pourtant, mon esprit me l’a projetée un matin, en mettant le pied à terre.
On pourrait la disséquer, l’analyser, y trouver tout un tas d’explications. Une autre façon de parler de poésie…