Passeurs d’Étoiles
Je me présente un Bourbonnais de 66 ans, natif de Montluçon, retraité, amoureux de la langue française et de la période de la Seconde Guerre mondiale. J’ai voulu mettre à l’honneur des personnages communs devenus l’espace d’une période des héros de l’ombre. L’histoire est inventée, basée sur des faits historiques authentiques.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

Je n’ai pas voulu de héros, les personnages de ce roman sont des gens exilés d’Espagne (sur plusieurs générations) qui sont venus construire une autre vie en France, ils sauront mettre leur courage au service d’étrangers pour favoriser le passage de clandestins (Juifs, Tziganes, Britanniques et autres). Alors que certains collaboraient avec l’ennemi, d’autres (étrangers eux-mêmes) loin d’être des héros, mettaient tout en œuvre pour aider leur prochain. Beaucoup, parmi mes lecteurs, dans les mêmes circonstances auraient pu faire de même. Bien souvent oubliés de la période d’occupation, ils méritaient largement d’être mis en lumière dans cette période obscure de notre histoire.
Les personnages sont inventés mais l’histoire est basée sur des faits et lieux réels (dans la mesure du possible).
De plus le livre est largement ouvert pour faire découvrir des décors et traditions aussi espagnols que français. Il permettra aussi à nos amis frontaliers de découvrir ou redécouvrir des dialogues en espagnol ou Catalan (en espérant que les traductions aient été respectées, le plus réaliste possible).
Extrait
« En attendant l’alerte avait été chaude, heureusement pour lui, mon père était connu et reconnu possédant le soutient indicible du maire (membre du réseau) qui réussit à force d’efforts & de ténacité à convaincre les gens de la “Redoutable Gestapo”. Père retrouva la liberté qu’au petit matin, une bonne partie de la nuit, il avait dû subir un lourd interrogatoire musclé, à aucun moment (cependant) il n’avait révéler la moindre chose sur l’existence réelle de Marie & d’Albert ; ce sont les enfants d’amis du nord, venus ici pour raison de santé, notamment Bébert pour son asthme. En attendant la leçon fut profitable, la preuve était faite qu’il fallait redoubler de prudence et rester (sans cesse) sur ses gardes ; à tout moment il ne fallait se fier à personne, prendre garde à la population (certains pouvant être du parti de l’ennemi, prêt à dénoncer) les moindres faits. Restait la question embarrassante de la circoncision, c’était (d’après les dires de Pédro l’unique volonté de la grand-mère d’Albert, qui [juive elle-même] l’avait exigé, dès le baptême de l’enfant, mais aucune poursuite aujourd’hui contre elle n’était envisageable, celle-ci résidant “au cimetière de Colmard” depuis bien des années.
Pour le “restant de la famille”, celle-ci avait une existence propre, empruntée pour l’occasion par le réseau [lors de la fabrication de la nouvelle identité des 2 jeunes enfants]. Demain, on ne manquerait pas de la contacter et de l’interroger en leur belle ville d’Alsace. Bien sûr, faisant partie [elle aussi] d’un réseau, [en liaison avec celui de Fillols] elle ne pourrait que confirmer les dires de Pédro, qui avait pu rentrer chez lui et reprendre son poste à l’exploitation.
Quant à Albert, il fit son retour, ramené tout honteux à la maison, par le docteur ; comme il se doit il se prit “une solide engueulade” de la part de mon père, pourtant d’ordinaire très laxiste. Le docteur conseilla à Francine de garder l’enfant à la maison, jusqu’à la fin du trimestre, histoire de ne pas envenimer davantage l’ambiance environnante, en réveillant les vieilles rancunes. La maîtresse passerait chaque soir chez les Alvarez, pour porter les devoirs à son élève et c’est Francine qui tiendrait le rôle d’éducatrice, pendant les semaines qu’il restait, devant nous conduire aux fêtes de fin d’année.
Pour l’instant, il fut décidé que Marie ne serait pas tenu au courant des ébats de son frère, qui promit de “se comporter en grand” dorénavant. »
Contreparties
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.