Description
Pendant des décennies, l’auteur fut, vécut, dans un monde en évolution sur 3 continents. Ce temps passé l’amènera à réfléchir (économiste de formation), penser (homme du textile par vocation), être le témoin, via des événements, des rencontres, à la réflexion sur la civilisation du 20e siècle, puis celle du 21e, la première décade. C’est par les tranches de vie d’un directeur commercial libre qui relevait sans cesse des défis et challenges inaccessibles, c’est dans l’histoire du glissement du téléphone fixe au télex puis au fax pour s’achever avec les mails et internet. Il y a une exigence dans « cette révolte » qui est toutefois loin de la révolution. Elle permit de renouveler en permanence les défis face à la mondialisation et mettre à profit les connaissances acquises. C’était une lutte permanente, amenant la réflexion et la fierté, la passion.
« Tout notre modèle de civilisation est basé sur le “rien faire”, vacances est le mot d’ordre, avoir des “afters”, bientôt des “before” pourquoi pas, nous ne désirons pas nous élever, mais nous sommes dans la destruction de notre culture et de notre civilisation.
Alors que tout pourrait nous permettre d’avoir une avancée positive en ce bas monde. Nous sommes la seule espèce intelligente vivant sur cette planète et la seule qui puisse inverser le courant actuel. En fait, s’il existe d’autres vies sur cette planète, si le végétal vit, le biologique vit, l’animal aussi survit, nous, en haut de l’échelle, sommes l’élément prédateur par excellence et dominant toutes les autres formes, sauf les catastrophes naturelles.
Aussi, si l’économie, et elle seule, détient la clef de la révolution à effectuer, décide de faire de son business “l’écologie” dans tous les sens de du terme, nous assisterions à une création d’innombrables emplois, de produits, il faudrait réapprendre aux individus la valeur des objets replacés dans leur contexte. »
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