25 ans de Procédures. Quid de ce monde judiciaire ? Je réponds.

Quand l’homme est seul sous le poids d’un litige et qu’il s’adresse à un avocat, que doit-il faire, face à cette personnalité, acteur du théâtre judiciaire, qui n’a pas le pouvoir de juger, ne serait ce que pour le justiciable, alors qu’il n’a aucun privilège, seulement celui tenu par les prérogatives que lui commande l’exercice de sa profession, régies par la loi, la jurisprudence ?

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« C’est quand le destin nous broie, que l’homme révèle sa véritable essence. »
Jacques Vergès

J’ai écrit ce livre parce que j’ai été personnellement confronté à un procès d’un marché public de services pipé. Ce procès a duré 25 ans. Au vu de cette expérience et de 40 ans d’expertises devant les tribunaux, j’ai estimé utile de donner mon regard sur ce monde judiciaire bien que je ne sois pas juriste. Les citoyens se doivent également d’aborder ce sujet. En ce sens, cet essai tente de répondre aux désarrois de beaucoup de personnes soumises à  » l’autorité  » de leur avocat – comportement général qui lui est imparti. Saisir son comportement dans le secret de son cabinet, à l’audience, est important.

Cet ouvrage n’a pas la prétention de définir tous les devoirs, ni toutes les prérogatives des avocats, mais d’offrir dans la mesure du possible le regard d’un homme qui durant une grande partie de sa vie les a rencontrés, fréquentés. J’expose les faiblesses du système judiciaire tout en tentant d’apporter un autre point de vue sur la question.

Cet essai s’adresse au monde judiciaire qu’il soit simple citoyen, avocat, juge, magistrat, huissier, expert, professeur, étudiant…

Extrait de  25 ans de  Procédures. Quid de ce monde judiciaire ? Je réponds.  par René Mathy

INTRODUCTION

Cet ouvrage n’a pas la prétention de définir tous les devoirs, ni toutes les prérogatives des avocats, mais d’offrir dans la mesure du possible le regard d’un homme qui durant une grande partie de sa vie les a rencontrés, fréquentés.
Pour ce faire, je reprendrai un extrait d’un très beau texte écrit par Maître Sylvaine Perret – Gentil¹, avocate : « […] C’est pourquoi il est temps aujourd’hui d’instaurer un dialogue et une réflexion sur le sentiment de justice ou d’injustice, afin que cette insatisfaction, de jour en jour davantage exprimée, ne reste pas sans réponses ni remèdes ; afin aussi que la justice se fasse connaître autrement qu’au travers de concepts idéalisés ou d’images erronées… »
Relation qui se veut concrète, studieuse, efficace, consciencieuse et respectueuse de chacun. Ce livre à pour objet de tenter de répondre aux désarrois de beaucoup de personnes soumises à « l’autorité » de leur avocat – comportement général qui lui est imparti. Saisir le comportement de son avocat dans le secret de son cabinet, à l’audience, est important.

Quand l’homme est seul sous le poids d’un litige et qu’il s’adresse à un avocat, que doit-il faire, face à cette personnalité, acteur du théâtre judiciaire, qui n’a pas le pouvoir de juger, ne serait ce que pour le justiciable, alors qu’il n’a aucun privilège, seulement celui tenu par les prérogatives que lui commande l’exercice de sa profession, régies par la loi, la jurisprudence.
N’est-il pas courant que sous le précepte de la relation dite de « confiance », la relation soit faussée ? Cette interrogation demande certainement une réponse.
L’évolution grandissante de la société humaine, les rapports humains et le commerce entre les gens étant de plus en plus rudes, pervers, complexes, le « chacun pour soi » dominant dans les relations, la compétitivité entre les individus de plus en plus âpre, l’espace temps de la réflexion se réduisant, conduit l’homme à user, souvent abusivement, au recours à la justice, à procéder pour la moindre controverse, font que les rapports entre le monde judiciaire et le client « consommateur » sont de plus en plus difficiles à traiter sereinement.
Les avocats, les magistrats, n’échappent pas à l’explosion des conflits. Les tribunaux s’encombrent, les délais raisonnables de procédures sont largement dépassés. Le justiciable est mécontent et critique les institutions judiciaires.
Dès que la Justice n’est pas à la hauteur de ses obligations, du respect du procès équitable, la société gronde, envahit les rues, crée le désordre. Les Tribunaux sont dépassés. Aussi, mes réflexions n’ont pas pour vocation de jeter l’anathème à l’encontre des hommes qui exercent la profession difficile d’avocat. Il s’agit d’une discussion sujette à débat.

¹ Maître Sylvaine Perret-Gentil « Sentiment de justice ou d’injustice, inadéquation ou malentendu. » Lausanne le 6 mai 2003.

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