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Né d’un père guadeloupéen et d’une mère martiniquaise, je suis originaire de la région parisienne. Après avoir passé mon enfance dans la ville du Bourget, je suis parti m’installer dans le nord de la France. Malheureusement, mon inspiration vient du monde dans lequel nous vivons. Je n’ai pas été chercher très loin pour me rapprocher de la réalité… Je n’ai pas attendu la triste période que nous avons connue pour me mettre à écrire. Je pense que beaucoup de personnes ont eu l’envie de le faire ces derniers temps ! J’ai une sincère pensée pour nos jeunes que nous n’avons pas protégés alors qu’il était de notre devoir de le faire.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Le livre traite de la cupidité et du machiavélisme dont peuvent faire preuve les adultes pour arriver à leurs fins. Cela a un effet dévastateur qui fort heureusement va prendre fin grâce à l’innocence et le courage de deux adolescents, dont Margaux.
Il s’agit d’une fiction se rapprochant à mon goût de la réalité et qui présente la caractéristique d’avoir été en grande partie conçue dans le TER entre Libercourt (petite ville du Pas-de-Calais) et Lille.
Certains passages de l’histoire vont sans aucun doute parler à un bon nombre de lecteurs.
Mon inspiration ? Les chaînes d’informations télévisées rediffusant en boucle à l’époque des scénarios catastrophes, avec une dose d’imaginaire qui m’est propre.
Il s’adresse à un public désireux de s’interroger et de se forger ses propres conclusions.
Extrait
– « Dans le lycée de Margaux, la conseillère principale d’éducation prend la direction d’une salle de classe. Après avoir monté énergiquement les escaliers menant dans l’une des nombreuses pièces bien agencées, la femme, des lunettes carrées sur le nez accentuant son air strict, frappe à la porte d’une salle où se déroule un cours de mathématiques.
Elle rentre, les élèves se lèvent.
— Asseyez-vous. Margaux, peux-tu me suivre ?
Au premier rang l’adolescente s’inquiète de devoir rater la suite du cours qu’elle suit assidûment depuis près d’une heure.
— Cela ne peut-il pas attendre la fin du cours ? s’inquiète la lycéenne en espérant un brin de compassion.
La réponse est immédiate.
— Non.
L’élève exemplaire se lève et se joint alors à cette membre du personnel, sur laquelle il est très rare de voir s’illuminer un sourire sur son visage.
En silence, elles arrivent devant le bureau de la directrice.
— Je te laisse rentrer, lui dit-elle sèchement avant de continuer son chemin dans ce couloir aux couleurs typiques que l’on trouve dans les établissements scolaires.
Après avoir frappé et reçu l’approbation pour entrer dans le bureau, Margaux referme soigneusement la porte.
— Venez vous asseoir, lui dit la patronne de l’établissement.
Puis elle enchaîne directement.
— Jeune demoiselle vous faites preuve de désinvolture vous aussi, lui reproche la femme éreintée par les changements de protocoles inopinés.
Puis elle se reprend.
— Vous faites preuve de désinvolture, poursuit-elle avant d’être coupée maladroitement par l’adolescente qui sent la séance de reproches injustifiés.
— Moi aussi mais de qui parlez-vous ?
Les bons résultats scolaires de Margaux forcent le respect de la cheffe d’établissement qui tente de faire bonne figure.
— Je parle d’une manière générale, ment-elle en ayant parlé sans le vouloir du cas de Mattéo.
— Vous m’avez fait sortir de mon cours pour me dire ça ? Je suis une bonne élève vous le savez. J’ai la meilleure moyenne de ma classe ! lui rappelle l’adolescente.
— Avoir de bonnes notes peut ne pas suffire et c’est le cas. Vous contredisez beaucoup le système en ce moment m’a-t-on dit.
Puis Margaux apprend que des parents se sont plaints après avoir échangé avec leurs enfants.
— Vous devez respecter la situation actuelle, certains ont fait les frais de leur mécontentement, se permet la directrice.
Bien que n’ayant rien à reprocher à son élève dans le cadre de ses études, la femme acariâtre applique simplement les ordres. La culpabilisation est une arme psychologique massivement utilisée par l’entité et les participants à ce plan machiavélique. »
Contreparties
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Les étapes de création
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