LE COUP DE FOUDRE

Miguel Haler a commencé à écrire et jouer de la guitare depuis son plus jeune âge. Auteur de 10 ouvrages, il s’est fait connaître grâce à son premier livre « le guitariste nomade » il raconte comment il a décidé et réussi à ne vivre que de sa guitare. Il a reçu le prix littéraire du LYS en 2015 et son deuxième livre “La route des gitans” est un best-seller. Il sillonne la France pour donner des concerts avec son fils et ses petites filles. «  Le coup de foudre » l’un de ses derniers ouvrages (le dixième) est tiré d’un fait authentique.

Les Éditions Maia vous propose d’être acteur de la naissance du livre de Miguel Haler en l’aidant à faire de sa parution prochaine, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus son livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements, vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus ! Les cinquante premières précommandes du livre (en version papier) recevront le dernier CD de l’auteur.

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Projet terminé

Benoît est un jeune maître d’œuvre envoyé sur un chantier dans une petite ville de province à cent kilomètres environ au sud de Paris.
Dans le supermarché à côté du chantier où il travaille il est subjugué par la beauté d’une jeune vendeuse, Agnès. Il essaye de la séduire, n’y arrive pas tout de suite mais la chance lui sourit, il obtient enfin d’elle un rendez-vous. Ces jeunes gens vont alors se rencontrer, se découvrir et s’aimer avec passion. Ils partent en voyage pour épanouir leur amour naissant. Nous apprendrons qu’Agnès a perdu son père dernièrement et, pour aider sa mère seule qui élève encore deux jeunes enfants Agnès a interrompu ses études afin de travailler et aider sa famille pour payer les traites de la maison familiale.

S’ensuivent les attentats de 2015 où nos deux jeunes gens bouleversés manifesteront à Paris en se posant des questions sur le sens de leur vie.
Tous les deux épris de musique, de littérature et de peinture vont harmoniser leur couple avec cet art qui les rassemble. Après une brouille et une réconciliation, Benoît et Agnès forme un couple plus uni que jamais, surtout qu’un enfant est annoncé dans cette union, mais, rien ne se passe comme prévu…

En somme, une histoire de tendresse comme peuvent en vivre beaucoup de jeunes français de notre époque enracinés dans la vie ordinaire… Mais qui rejoint, par sa conclusion, les grands mythes de l’amour en littérature, car l’imprévu aura sur le couple un effet foudroyant.


Les extraits

La rencontre

Une forme d’aimantation vertigineuse, électrique, m’attirait vers cette personne. J’étais en proie à un tourment de bien-être, une révélation picturale… Elle devait correspondre, dans mon imaginaire, à un idéal physique féminin… Enfin, un truc bizarre s’était passé qui avait fait sur moi un grand soubresaut enchanteur.
J’étais l’heureuse victime de ce que l’on appelle un « coup de foudre ». Cela ne m’était jamais arrivé, je trouvais la sensation délicieuse.

Une conversation drôle entre Benoît et Agnès

— Connaissez-vous Shakespeare, belle Agnès ?…
— Euh, oui, un peu, comme tout le monde. Mais j’avoue que je n’ai pas lu ses œuvres…
— Mais, peut-être savez-vous, chère Agnès, que Roméo a rencontré Juliette dans le palais des Capulets, dans la ville antique de Vérone, un soir de fête où il y avait bal…
— Euh, oui, et alors ?…
— Eh bien, si Shakespeare revenait aujourd’hui, il pourrait écrire, si nous avions une relation amoureuse : Benoît a rencontré Agnès devant le rayon des spaghettis, à côté de celui des camemberts, en face de celui des poulets congelés et des andouillettes, au supermarché Aldi du coin !
Je n’ai pas le temps de poursuivre ma phrase qu’elle s’attrape un fou rire qui la secoue de la tête aux pieds.

Autre conversation entre Benoît et Agnès

— Benoît, tu sais ce que disait Céline à ce propos ?…
— Céline, Céline Dion ?…
— Mais non ! Louis Ferdinand Céline, tu connais ?…
— J’ai lu le « voyage au bout de la nuit » comme beaucoup de personnes. Je trouve ça noir, pessimiste, sa vision du monde était morbide.
— Comme Schopenhauer, me fit-elle… Pourtant ce sont de grands penseurs. Et bien Céline disait dans « le voyage… » : « Il en faut du temps dans la tête d’un couillon pour que son cerveau fasse seulement un tour… »
Après un rire de concert, communicatif, je continuais :
— C’est bien vu comme phrase, ça tombe pile-poil avec notre sujet. Mais moi je me pose des questions. Je me dis : comment se fait-il qu’une petite caissière de supermarché puisse lire Céline et Schopenhauer… C’est presque anachronique, on n’en rencontre pas des bottes, ça ne court pas les rues !
— Chaque être humain à ses mystères, Benoit. Je dois surtout ça à mon père qui était un puits de culture. Mais moi Benoit, contrairement à Céline, je demeure une optimiste forcenée.
— Pourquoi ?
— Parce que je suis une femme.
— Et alors ?
— Dans le ventre de chaque femme du monde, s’éclot l’avenir de l’humanité. Voilà !


Le contexte historique conversation téléphonique entre Agnès et Benoît


— Allo Benoît ! Cabu, tu te rappelles, mon caricaturiste préféré ?…
– Oh oui, « l’habitude émousse la sensation, William James la phrase qui tue dans sa BD le grand Duduche ! »
— Eh bien, il a été assassiné !
— Assassiné ?…
— Oui, toute l’équipe, Cabu, Wolinski, Charb… Des fous de l’État islamique… Ils ont pénétré dans les locaux de Charlie et ont mitraillé tout le monde : douze morts et des blessés en cascade ! Je suis atterrée, sous le choc : avec eux c’est notre culture, notre façon de penser et de rire qu’on massacre ! Ce week-end, j’irai manifester à Paris !
— Pas de problème, je serai là, à tes côtés ! Rendez-vous sur le quai du RER, gare de Lyon comme d’habitude. Je t’attendrai, mais on se rappelle d’ici là.


Le contexte érotique

— Agnès, ton intimité secrète est une superbe orchidée rose qui m’invite à l’amour.
— Une orchidée rose ? s’esclaffe-t-elle en riant.
— Oui, une orchidée très belle. Ton petit clito fait comme le bouton du haut de la fleur, tes lèvres sont comme des grands pétales avec les commissures qui entourent le calice en descendant. C’est très beau.
— Oh, Benoît, me réplique-t-elle dans un soupir langoureux, tu es poète, cette comparaison m’enchante. Embrasse mon orchidée, elle n’attend que toi… Elle est déjà tout humide… Fais de moi ce que tu veux, prends — moi, j’ai envie de ton sexe dans mon corps. C’est bon avec toi… Mais, reste tout de même prudent, y a un bémol, je ne prends pas de contraceptif…
— J’esquiverai à ma manière, lui dis-je à l’oreille, tout en lui mordillant ses seins pigeonnants comme on le ferait avec deux pommes.

Contexte romantico- érotique

Devant cette féerie nous commençâmes à nous embrasser, à nous câliner. La sève de la vie montait dans tout mon être. Agnès avait ce don inné de savoir me caresser et m’envelopper pour me faire monter physiquement la pression amoureuse. J’étais vigoureux, plein de jeunesse, je n’attendais évidemment que cela.

Instinctivement, comme nos étreintes devenaient de plus en plus pressantes et entreprenantes, nous basculâmes sur le transat à quelques mètres de la table (elle avait tout prévu), pour continuer ce magnifique acte qui remonte à la nuit des temps et qui donne la jouissance à deux corps qui s’aiment. Tout ça sous le lumineux croissant de lune et les milliards d’étoiles que la Voie lactée de l’été mettait tout spécialement à notre disposition pour la contemplation et notre bonheur.

Miguel Haler et sa famille

La pochette du CD de Miguel Haler

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.