C’est l’histoire de deux meilleurs amis qui sont amis depuis leur plus tendre enfance. Il se trouve qu’ils aimaient tous les deux le même professeur qui leur enseignait la chimie à l’école vétérinaire, mais le personnage principal de mon livre a d’abord ressenti de l’antipathie et du dégoût envers le professeur, à cause de son traitement injuste à son égard – à son avis. Au fil du temps, son attitude envers lui a changé pour le mieux, lorsqu’elle a remarqué que le professeur a commencé à la traiter d’une manière spéciale, et elle aussi, de manière incontrôlable et contre sa volonté, a commencé à ressentir du respect et de la sympathie pour lui, et même un léger engouement, qui au fil du temps s’est transformé en sentiments plus sérieux, plus profonds et plus forts !

Mon livre est un mélodrame sentimental et il pourrait plaire davantage aux lectrices qu’aux lecteurs, puisque ce sont les femmes qui aiment lire et regarder des mélodrames.

Extrait

Même si je le voulais, je ne pourrais pas t’oublie ! – Evgeny Stanislavovich soupire tristement.
Parce que de tout ma vie, je n’ai jamais rencontré une fille, comme toi !
Rien, vous trouverez quelqu’un d’autre ! Il ni a pas de substitut, comme on dit ! Et, comme le disait Bernard Shaw, « nous sommes toujours remplacés par d’autres » ! Et j’espère, que vous traiterez le nouvel élève, que vous aimerez beaucoup, beaucoup mieux, que vous ne m’avez traité !
Je t’en supplie, ne commets pas cette erreur fatale, que tu regrettas très amèrement par la suite ! – le chimiste continue de persuader Nastya.

Je regrette déjà d’être aller dans cette collège stupide avec mon ancien meilleur ami ! Ma vocation est tout autre, comme je vous l’ai déjà dit ! Maintenant je vais avoir une carrière éblouissante sans un domaine, que j’aime et que j’adore, et je peux facilement oublier tout ce que j’avais en commun ici, je vous l’assure !
Je me suis déjà excuse auprès de toi et j’ai regrette mille, non, un million et un milliard de fois d’avoir été injuste à ton égard, de t’avoir humilié devant tout le monde et de t’avoir importuné par mon attention constante ! Seras-tu si cruel, que tu finiras par rejeter mon amour ardent pour toi et me brise le cœur !
Je n’ai plus rien à vous dire ! – réplique froidement Anastasia. – Notre rencontré avec vous était un erreur, il est temps de l’admettre !
A ce moment là, la porte du bureau des ressources humaines vient de s’ouvrir, et Anastasia réclame rapidement ses documents à la secrétaire, qui vient d’entrer :
Donnez-moi mes papiers, je pars d’ici pour un meilleur endroit, car j’ai compris, que la médecine, même vétérinaire, ne me convient pas du tout !
Non, ne lui donnez pas les documents ! – plaidé la secrétaire de l’enseignante désespéré.

– Elle agit sans le consentement de ses parents ! Ils ne sont pas du tout au courant de sa décision hâtive et irréfléchie !
– Et je n’a pas besoin de demander à qui, que ce soit ce que je veux faire !  s’exclame Anastasia Koroleva têtue. Et je ne rendrai compte de mes actes à personne, et surtout pas à toi ! Vous ne représentez rien pour moi, et maintenant nous nous séparons ! Et prenant ses documents, Anastasia se précipité vers la sortie. Mais devant la porte principale du collège, le professeur amoureux la serre un instant contre son cœur, puis embrasse la jeune fille surprise sur les deux joues.

Je t’aimerai toujours, douce, pure, gentille Nastya, et je ne t’oublierai jamais ! Et je crois, qu’un jour, toi et moi, nous nous rencontrerons à nouveau, dans de meilleures circonstances ! Et peut-être, que ton cœur fondra, que tu me pardonneras, que tu commenceras à penser différemment, que tu changeras de décision et que tu feras un choix en ma faveur ! J’attendrai patiemment notre rencontré et j’y croirai jusqu’àu bout, sans perdre espoir !

« L’espoir, comme on dit, meurt en dernier » !
– Attendez autant que vous voulez, si le temps le permet ! s’exclame Anastasia avec irritation, pas encore tout à fait remise du baiser passionné de son professeur.

– Parce que je n’ai pas l’intention de revenir dans votre collège, et je ne reviendrai jamais ici pour rien ! Même si tu ne me trouves pas, je te trouverai moi-même ! Celui, qui cherche, trouve toujours, s’il est persistant et s’il persévère vers ses objectifs !
Alors, à bientôt, ma reine, c’est toi, et toi seule, qui es la lumière de mes yeux et mon soleil radieux qui bien que de courte durée, à illumine mon chemin de vie et m’a donné l’espoir et la foi, un nouveau sens à la vie ! Ces paroles touchantes et déchirantes à Anastasia l’envie de pleurer, mais elle se rapidement s’éloigna du chimiste et, sans lui adresser un regard d’adieu, la tête basse et les épaules affaissees, quitta les murs de l’école vétérinaire, ou elle avait passé quatre mois, pour ne plus jamais en franchir le seuil…