De l’angoisse du paradoxe au changement dans le système

Mes recherches m’ont amené à réfléchir sur la systémique pour aller au-delà d’une systémique synchronique qui reprend les travaux sur les ensembles d’Evariste Gallois pour décrire une systémique diachronique qui rejoint les névroses noogéniques de Victor Franckl et la logothérapie. D’un point de vue philosophique, j’ai quitté les psychothérapies structuralistes pour m’ouvrir au post structuralisme et au constructivisme radical.

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Le fond du problème en psychothérapie est l’angoisse que ressentent les patients. Cette angoisse découle du climat d’incertitude que crée le paradoxe, la situation qui n’offre aucune solution évidente. Delà, le sujet plonge dans un système de vie pathologique où il se sent enfermé. D’où la nécessité de bien savoir de quoi on parle quand on utilise des concepts comme les paradoxes ou les systèmes. De plus quelque soit le problème affiché par le sujet, ce qui va nous intéresser c’est en quoi aujourd’hui le sujet éprouve un mal à vivre. Et non pas un traumatisme subit il y a des années, et que souvent le sujet rabâche en boucle. Il s’enferme dans un discours qui n’avance pas.
Ce sont les paradoxes relationnels qui nous intéressent ici. Soit parce qu’ils sont pathologiques, soit parce qu’ils sont une arme extrêmement puissante dans les mains d’un thérapeute.
Cela permet aussi de comprendre le paradoxe qui veut que pour se sortir d’un système pathologique, un mal vivre dans la société « normale », les sujets peuvent s’enfermer dans un système encore plus étroit, encore plus rigide encore plus fermé. Une secte, une addiction, une croyance. Tout un tas de situations qui toutes présentent l’intérêt d’offrir un semblant de sécurité puisqu’il n’y a plus de décision à prendre, d’actes à poser par soi-même, de questions à se poser. Il y a un transfert de son auto jugement à un guru, une idéologie, une religion un règlement communautaire. On peut faire taire ses indécisions dans une fuite en avant dans l’action qu’elle soit délictueuse ou socialement acceptée. L’angoisse existentielle qui reste au fond du sujet est toujours là.

Extrait 1

Extrait 2

Pendant les cinq premières minutes, soyez profondément à l’écoute de votre patient, mais surtout, surtout, ne le laissez pas parler !
La personne qui entre dans votre bureau par définition a des problèmes. En partant de ce constat, si vous la laissez parler, qu’est-ce qu’elle peut bien vous apprendre ? Qu’elle ne va pas bien ? Ce n’est pas un scoop. Si elle se sentait bien elle ne serait pas là. Mais :
Elle va vous expliquer pourquoi elle ne va pas bien. Elle a tellement vu de psy avant vous ! Elle a tellement lu « psychologie- magazine » en prenant le train ou bidouillé sur la toile, qu’elle est devenue une spécialiste des comportements de l’inconscient. Malheureusement, puisqu’elle sait pourquoi elle ne va pas bien, elle va aussi vous dire qu’elle a toutes les raisons du monde de ne pas aller bien. Autrement dit, par un glissement sémantique, qu’elle a parfaitement raison de ne pas aller bien.
À partir de là, et si on lui laisse la position haute qu’elle s’octroie, il va être difficile de lui dire qu’elle se trompe, sans lui laisser entendre qu’elle est complètement idiote de croire ce que disent les magazines, qui ne disent que des vérités ou de croire les psychologues qui lui ont tellement bien expliqué les choses. Difficile aussi de la guérir sans lui faire renoncer à la seule valeur qui a un peu de valeur pour elle : la certitude
La certitude qui nait de son idée unique, de son idée fixe. 1) Elle ne va pas bien et — 2) Elle a raison d’être malade. La valeur est une notion qui appartient en propre à la personne. Ce peut être une norme qu’elle a intégrée. La norme est imposée par le milieu social, culturel, cultuel, j’allais oublier le milieu psychologique ambiant. La valeur est quelque chose qui définit la personnalité. Or dit-elle avec une grande assurance : « Je n’ai pas confiance en moi ». Paradoxe, vous avez dit paradoxe ?

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