#Fibre(s)ciment.com – 120 ans de l’histoire d’une industrie

Cadre du commerce international, retraité, ayant fréquenté de très près l’industrie de l’amiante-ciment sur 4 continents, tant auprès des dirigeants que des ateliers de fabrication, durant plus de 30 ans.
Intéressé par l’histoire industrielle en général, en particulier par celles que je connais, après un premier livre consacré à l’histoire tourmentée de la PME qui m’employait (COFPA. Quatre entreprises et un mariage, Édition Mer du Sud, 2015), l’envie d’élargir mon champ d’action m’amène à vouloir écrire celle de l’amiante-ciment. Je découvre alors qu’il n’existe aucune publication à caractère global sur le sujet et je réactive un maximum de mes anciens contacts à travers de nombreux pays.
Eux aussi retraités, ils sont heureux de faire revivre leur ancienne activité et m’ouvrent souvenirs, archives, et pour certains leur cœur.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !

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Au tout début du 20ème siècle, un Autrichien découvre les vertus de la liaison amiante et ciment. Il invente un procédé de fabrication qui va connaître un succès fulgurant, d’abord en Europe, puis rapidement dans le monde entier. Connu sous le nom de fibrociment, ce produit a aujourd’hui mauvaise réputation en raison de la nocivité de la fibre d’amiante qu’il contient. On ignore souvent qu’il a permis, et permet encore, à des millions de personnes, de disposer d’un toit, parfois de murs et de cloisons, de l’adduction d’eau et de l’évacuation des eaux usées.

On ignore également que bien des artistes, et non des moindres, Picasso par exemple, ont utilisé des plaques de fibrociment pour réaliser des œuvres célèbres. D’autres ont exploité les facilités de moulage de la pâte fraîche pour créer des statues qui une fois sèches, résistent bien longtemps aux agressions atmosphériques.

À la fin du 20ème siècle, cette industrie connaît une très grave crise pour cause d’amiante, elle ressuscite cependant, grâce à l’usage de nouvelles fibres, et participe de nouveau activement à l’architecture, aux toitures et même aux grands chantiers autoroutiers dont elle équipe murs anti-bruit et intérieurs de tunnels.

C’est le sujet, parfois austère, que j’agrémente d’anecdotes vécues par les acteurs dans : Fibre(s)ciment.com

« Au début du XXe siècle, l’Union Européenne, le TGV et les vols “low-cost” n’existent pas, mais les voyages à l’intérieur de l’Europe sont très répandus, surtout au sein de la bourgeoisie et parmi les industriels ambitieux désireux de développer leurs affaires. Les grands trains internationaux dotés de voitures-lits confortables et de voitures-restaurants luxueux favorisent les déplacements entre les grandes villes. Les passeports sont rarement nécessaires. La monnaie or évite les tracasseries des changes et des conversions. Les dirigeants n’ont pas encore à justifier leurs frais, ni auprès du fisc, ni auprès des actionnaires, ni vis-à-vis de leurs subalternes.

C’est ainsi que les nouveautés sont rapidement connues d’un pays à l’autre, d’autant plus que règne également une grande liberté d’entreprendre, de bâtir, de recruter et de lancer de nouveaux produits sur le marché sans qu’il soit nécessaire d’obtenir autorisations d’agences ou d’organismes multiples et omnipotents.

Dans ces conditions, l’invention de l’Ingénieur Ludwig Hatschek a tôt fait de s’évader d’Autriche, d’essaimer à travers l’Europe et même vers les autres continents. Ludwig Hatschek a déposé son brevet et quand des Industriels lui exposent leur intérêt pour le nouveau produit, il le concède au rythme d’un seul par pays… »

  • Le budget souhaité

    Mon budget idéal serait de 990 €. La publication nécessite de participer à la correction, la mise en page, l’impression et la commercialisation afin que ce travail de création soit le mieux valorisé possible. Les participations seront réparties de cette manière : – 20 % pour la correction, la mise en page et la création de la couverture ; – 55 % pour l’impression. – 25 % pour la promotion. C’est pourquoi aujourd’hui je fais appel à vous, auteurs, lecteurs, passionnés de lecture ! Votre soutien me sera précieux et c’est pourquoi je vous propose différentes contreparties en échange de votre aimable soutien.