L’histoire captivante d’Icar, un jeune homme courageux, vous plongera au cœur d’une école énigmatique, où l’apprentissage dépasse les frontières du possible.
Dès les premiers instants, on ressent la vibration magique de ce lieu, où les élèves ne se contentent pas de suivre des cours ordinaires, mais découvrent des pouvoirs et des secrets cachés de l’humanité.
Le récit est un véritable tourbillon d’émotions et de mystères, où le surnaturel s’entrelace à la réalité.
Chaque rencontre, chaque révélation est un pas de plus dans une quête spirituelle.
Les relations entre les personnages ajoutent une profondeur et une intensité psychologique qui captiveront votre attention et notre cœur.
L’intérêt de cette lecture est de vous pousser à explorer les capacités humaines, à remettre en question la science et la réalité, et à embrasser l’inconnu. “ICAR E- MOTIONS” est plus qu’une histoire, c’est une aventure introspective, où chaque page est un pas vers la découverte de soi et des merveilles cachées de la vie.

Calme-toi. Inspire, expire. C’est sûrement les restes de THC qui parlent encore dans ton esprit.

Chaque bruit de voiture apparaît plus strident désormais et les feuilles, qui tombent au sol, sonnent comme des potentiels prédateurs, ce n’est pas le moment pour une crise de paranoïa.
Nous avons presque fini notre promenade, j’imagine la douceur du plat de ma mère et celle de la nicotine qui clôture le repas mais je me rappelle qu’aujourd’hui, elle a un repas avec des collègues de travail. Je vais manger seul, enfin avec mon poilu, je prends la ruelle qui longe le terrain de foot en bitume.
Nous arrivons au virage pour regagner l’avenue principale qui mène à chez nous lorsque tout à coup un énorme van noir vient nous couper la route, il freine brusquement nous barrant le passage.

C’est le van noir qui m’a suivi hier. Je ne suis pas fou.

Un homme en costume trois pièces sort de l’engin, pas le genre de Jason Statham à la façon d’un chauffeur tueur à gages, plutôt un Alfred de Batman. Ses cheveux poivre et sel sont peignés en arrière et fixés à l’aide d’une laque d’une façon impeccable. Il porte des chaussures à talonnettes cirées d’un noir pétant, un caban long jusqu’aux hanches enrobe son costume gris trois-pièces malgré la chaleur, il a la grande classe.
C’est bien l’homme que je vois depuis l’hôpital psychiatrique. J’aurais pu être angoissé de me faire prendre au piège ainsi, mais un sentiment d’apaisement me parcourt tout le corps.

Ce mec existe bel et bien, je ne l’ai pas inventé.

— Mr Fallen ?!