J’AI ATTRAPÉ LE BONHEUR AU VOL !

J’écris depuis toujours, d’abord pour moi puis, à 61 ans, pour aider mes élèves (jeunes adultes) avec « le Livre d’Iwa » (2006) ; 10 ans plus tard pour ceux et celles qui se retrouvent seul(e)s à un âge avancé, à la suite de drames souvent douloureux avec Laisse couler, ça va venir ! (2016).
Dans « J’ai attrapé le bonheur au vol ! », je souhaite redonner de l’espoir et des pistes pour évoluer, être plus heureux et faire la nique aux années à travers les mésaventures de Youyou. Je veux montrer qu’il n’est jamais trop tard.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Réflexions sur la vieillesse et le bonheur avec en toile de fond une histoire de rupture à plus de 70 ans: comment retrouver la joie de vivre? Que peut-on encore attendre de la vie ? Est-on jamais trop vieux ? Peut-on encore tomber amoureux ?

ORIGINALITÉ :
La rencontre improbable d’une Calédonienne et d’un Québécois de plus de 70 ans sur Internet et un rendez-vous à Vancouver. Une histoire d’amour est-elle possible et quels sont les écueils à éviter, les pistes à suivre pour être heureux à tout âge ?
La forme mêlant extraits du journal de Youyou, les messages électroniques et les réflexions a posteriori.
À la fin de chaque chapitre, une page de réflexions et des exemples pour stimuler chacun d’entre nous à ne pas baisser les bras et à prendre son destin en main.

INTERET DE PARTICIPER A SA CREATION :
Contribuer à aider le plus de gens possibles à être heureux quoi qu’il arrive et à ne jamais renoncer. C’est partager un message d’espoir : même à plus de 70 ans, on peut vivre une histoire d’amour.

Extrait

Chaque fois que je voyais Dana, elle me suggérait de m’inscrire sur un site de rencontre mais je m’y refusais : je ne voulais pas être considérée comme une marchandise et je trouvais ça humiliant.

Cependant, au début de janvier, après qu’elle m’en eut reparlé, j’ai tapé « sites de rencontre » sur Google pour lui faire plaisir et une liste me fut proposée. J’éliminai d’office le site que je savais être utilisé par les célibataires, veufs ou divorcés de mon pays et on me demanda de choisir la région du monde. Pour éviter la honte d’être exposée sur la place publique (oui, je sais j’exagère !), je choisis délibérément le Canada et donnais l’adresse de mon fils à Montréal. Et je découvris un site que j’appellerai Meetyou pour ne pas faire de publicité. Il fallait répondre à un questionnaire très pointu et je me suis prise au jeu : c’était une façon de me regarder en face. Qui étais-je ?

Au bout d’une heure, j’arrivai à la dernière question et juste après, il fallait bien sûr payer. Hors de question, me suis-je dit et je me suis déconnectée. Ouf ! j’étais soulagée comme si je l’avais échappé belle…

À partir du lendemain et tous les jours suivants, j’ai reçu un mail de ce site qui cherchait à m’allécher en me proposant des listes de prénoms et en m’exhortant à finaliser mon inscription. Chaque jour, je les supprimais sans même les lire et cela pendant trois mois.

Je me demandais comment faire pour ne plus recevoir leurs mails, ça commençait à m’agacer: je n’avais pas mis de photo, pas terminé l’inscription et pas payé, mais ils ne voulaient pas me lâcher ! Et un jour…

Extrait de mon journal, le 07 avril,

[…] Comme d’habitude, ce matin, j’allais supprimer leur nième message, lorsqu’…

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.