Je vis, je ris, je meurs

Je m’appelle Marie Jo, j’ai 53 ans, je suis mariée et maman de trois enfants.
Toutes les personnes me connaissant vous diront que je suis quelqu’un à l’écoute, dans l’empathie et sincère. Pour que ce projet soit réalisable, je fais appel à vous et vous propose de contribuer à la naissance de cet ouvrage en devenant partenaire de sa création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !

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Quand ma fille est rentrée au collège, tout se passait très bien. Un mois plus tard, elle ne voulait plus y aller. À chaque fois qu’elle devait quitter la maison, c’était un drame, un arrache cœur. Je me suis mise à culpabiliser en me demandant à côté de quoi j’étais passée. Mon mari, ses frères, nous étions tous impuissants devant la situation. Après avoir consulté diverses personnes, on me dit « votre fille fait une phobie scolaire ». Je ne comprenais pas ! Que faire ? Pourquoi ? Que s’est-il passé au collège en si peu de temps ? Je me suis sentie perdue, seule, personne à qui en parler sans être jugée. On me disait « c’est de la comédie ». Quelques mois plus tard, elle a dû être déscolarisée et a fait l’école à la maison.

De par mon métier, j’ai rencontré beaucoup de jeunes qui ont vécu la même chose, « phobie scolaire » due à du harcèlement scolaire. Il fallait que j’extériorise ce que je ressentais.
Un jour, je me suis surprise à écrire quelques mots, des phrases, puis des textes de plus en plus longs. Des images défilaient dans ma tête mais les mots ne suivaient pas toujours. Ce que je peux dire, c’est que j’ai pris un réel plaisir à écrire ce premier roman.

Il est l’histoire d’une famille qui entre le travail, l’amitié et le sport va voir la vie de leur fille basculer par du harcèlement scolaire. Tout le monde peut se retrouver à travers l’un des personnages de ce roman.

 

Extraits

Elles partent main dans la main en chantant en direction de l’école.
Héléna ne sait pas que Paul, son papa est sorti du travail pour la rejoindre devant l’école.

En rentrant à la maison, elle ressent un vide immense. Pas un bruit, pas un rire, rien, juste le silence. L’appartement est vide comme elle.
Le temps d’une réflexion, Élise se ressaisit.

Paul et Élise décompressent un petit moment, ils parlent de choses et d’autres. Paul explique qu’il va avoir beaucoup de travail dans les jours à venir, parce que son patron a signé un gros contrat. Il sera certainement obligé de faire des heures supplémentaires cela les aidera un peu financièrement.

Au bout de la route leur chemin se sépare, les uns partent à gauche direction le terrain de foot et les autres partent à droite direction la salle de danse.
Une fois sur place il y a une quinzaine d’élèves filles et garçons. Le professeur nous explique que les parents ne peuvent pas rester au cours ; ils doivent revenir dans une heure.
Ne sachant pas quoi faire, Élise décide d’aller au stade rejoindre Habiba.

Pendant ce temps à l’école c’est l’heure de la récréation. Kévin, tel un chef, semble avoir convoqué un groupe de garçons de sa classe. Hassen et les filles sortent à leur tour. Kévin se met alors à crier :
– Ah ! Voilà les relous !
Personne ne relève la remarque faite par Kévin. Héléna comme d’habitude joue avec Thérèse et ses copines et Hassen joue au foot. Kévin, vexé du peu d’effets de son intervention, rejoint Hassen et commence à bousculer les autres garçons.
Héléna regarde ses parents parler, elle a très vite compris leur sujet de conversation étant donné que Paul regarde dans la direction de Kévin.
Héléna, ne se livre pas. Elle reste secrète sur ses angoisses qu’elle déclenche à la simple vue de ce Kévin.
– Comment tu te sens ?
– Pas très bien mais s’il te plaît ne parle pas de ce qui vient de se passer. Ni à ta famille ni à Thérèse.
Le jeune garçon va porter un lourd secret, mais jusqu’à quand ?

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