La Duchesse et le Renard
de Martine V. Schiva
En grandissant, j’ai ressenti un profond et secret désir de pouvoir un jour écrire. Mais le temps manquait, la confiance, également… Jusqu’à ce moment, il y a quelques années, où le déclic s’est produit. J’ai commencé d’écrire les histoires qui germaient dans ma tête, les lisant et relisant à maintes reprises, travaillant d’arrache-pied pour en améliorer le style, la langue, qui sont au service de la clarté et la compréhension. J’ose espérer que mon roman parviendra à plaire et à toucher un grand nombre de lectrices et de lecteurs. Mes plus sincères remerciements s’adressent donc, pour leur confiance et leur soutien, à toutes les personnes des éditions Maïa qui vont participer à la réalisation de mon projet.
Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus. Merci à tous pour votre soutien dans la réalisation de ce beau projet !

La duchesse et le renard est un roman dans lequel se mêlent étroitement réalité et fiction, et s’adresse aux adolescents et aux adultes. Trois lieux – une boulangerie, un manoir et un hôpital – vont devenir le théâtre de bien des rencontres et des aventures. La plupart des protagonistes de l’histoire revivront des moments pénibles (voire dramatiques) de leur passé. Mais le solide lien tissé d’amitié, d’amour et de confiance qui les relie les uns aux autres leur permettra de triompher de leurs douloureuses épreuves.
Les thèmes essentiels abordés – la jalousie, la trahison, les violences conjugales causées par le désespoir conduisant à l’abus d’alcool, les souffrances psychologiques non résolues du passé, la folie des grandeurs qui jalonnent le cours du récit sont sans cesse contrebalancés par d’autres thèmes porteurs d’espoir et de renouveau : L’amour, l’amitié, la générosité, le courage, l’entraide et le pardon. En quelques mots : De quoi garder le cap sur un moral à toute épreuve !
Extrait
Deux jours après, il retourna à la boulangerie beaucoup plus tard que d’habitude. C’était presque l’heure de la fermeture, mais il n’avait pas pu faire autrement. Son père, rentré l’avant-veille pour deux jours, repartait déjà le lendemain pour toute la semaine, et il venait chercher le dessert et le pain commandés par sa mère un peu plus tôt. Lucinda était seule et lavait le sol. Il eut à peine le temps de mettre les deux pieds dans la salle, qu’elle se mit à crier :
– Vire tes sales pattes de là, espèce d’empoté, tu vois bien que je suis en train de passer la serpillière !
Cette « aimable » injonction fut aussitôt suivie d’un bon coup de balai sur les chaussures de Valentin, qui attendait devant la caisse en souriant, malgré le mauvais accueil qu’il venait de recevoir. Il décida donc d’employer l’humour pour lui répondre :
– Eh… du calme ! Tu ne vois pas qu’elles sont neuves, mes chaussures ?
– Neuves ou pas, ça m’est égal ! De toute façon, c’est avec les semelles qu’on salit ! Tiens, et au fait, tu ne m’appelles pas « Duchesse », aujourd’hui ? Ah, je sais, dis-moi si je me trompe … Tu as trouvé un nouveau moyen de m’énerver : rappliquer quand je fais le ménage pour venir tout dégueulasser !
Elle brandit à nouveau son balai d’un air menaçant, mais Valentin, toujours aussi calme, lui dit avec douceur :
– Calme-toi, Lucinda, s’il te plaît ! Je ne comprends pas pourquoi ce mot t’a mise dans un état pareil … Pour moi, tu sais, c’était juste un mot pour me venger de toi en te taquinant un peu. Parce que, ce jour-là, je n’avais pas compris ton comportement désagréable. Et d’ailleurs…
– Et maintenant, tu comprends mieux ? le coupa-t-elle avec brusquerie.
– Non, mais je sens que quelque chose de grave te tracasse et te perturbe. Si tu voulais bien m’accorder ta confiance, je suis certain que je pourrais t’aider.
– Pourquoi en es-tu si sûr ?
– Parce que… parce que tu es très importante pour moi !
Tout en parlant, il ne la quittait pas des yeux. Ses yeux à elle ne contenaient plus de colère, à présent. Seulement de l’étonnement, du désarroi, du regret. Une infinie tristesse, surtout.
– Et tu sais, ajouta-t-il, moi aussi, j’ai quelque chose de terrible à te confier…
Puis, les joues en feu, oubliant le pain et le dessert, il quitta précipitamment la boulangerie.
Contreparties
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Les étapes de création
L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la diffusion et à la promotion du livre lors de son édition officielle. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une belle réussite, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente. *(selon accord)