LA LAMPE ou Comment la Belle Époque peut éclairer notre présent
« Je rends hommage à ceux qui parlent au vent, les fous d’amour, les visionnaires, à ceux qui donneraient vie à un rêve.
Aux rejetés, aux exclus.
Aux hommes de cœur, à ceux qui persistent à croire aux sentiments purs.
À ceux qui sont ridiculisés et jugés.
À ceux qui n’ont pas peur de dire ce qu’ils pensent et qui n’abandonnent jamais. »
Déclaration toujours aussi actuelle, à laquelle je souscris. Y ajouter l’hommage à ceux qui luttent obstinément pour la paix, qui exigent le silence des armes au profit de l’émerveillement de la connaissance, de la culture et de la fraternité entre les peuples.
Je vous propose d’être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
La fin du XIXe et le début du XXe siècle me semblaient lointains, un peu confus. J’ai décidé d’étudier cette période agitée : la chute de Napoléon, la guerre de 1870, la Commune de Paris, la naissance de la IIIe République, la montée de l’antisémitisme, l’affaire Dreyfus, la marche à la 1re Guerre Mondiale.
Sous mes yeux, je voyais se dérouler des situations ayant de grandes similitudes avec notre époque.
Le « hasard » d’un cadeau d’une lampe à pétrole née à la Belle Époque me permit de bâtir une histoire dans l’Histoire où la lampe va être le témoin d’évènements passionnants, de rencontres étonnantes avec des personnages nommés Zola, Hugo, Victoire Daubié, Anatole France, Marie de Régnier, Guy de Maupassant, Jean Jaurès, Rodin… qui vont, pour certains, se croiser, se confronter, s’opposer, s’associer…
J’ai donné vie à cette lampe. Elle va regarder ; analyser ; commenter la vie des hommes ; frissonner à l’éclosion de son ennemie mortelle l’électricité et à son ardent promoteur, Thomas Edison ; s’étonner d’évènements constituant une intrigue insensée dans la vie de son maître ; assister aux émois, amours, ruptures amoureuses…
Rien de ce que qui constitue l’activité des Hommes de cette période, de son Jura natal à la folle vie parisienne, ne lui sera caché.
Sa mission, son but est d’éclairer la vie des hommes. En retour, elle aura à voir, à s’étonner, à s’enthousiasmer, à se questionner, à gérer leurs côtés brillants, leur science, leur culture, mais aussi leurs côtés sombres, leurs faiblesses et leurs vilénies.
Un de mes « pré-lecteurs » a déclaré à propos de ce roman : « Je l’aime ta lampe, elle est présente, attachante, « rigolote ». Elle acquiert au fil du récit une dimension humaine et ne s’en laisse pas conter. »
Saurez-vous vous y attacher, vous aussi ? Je le crois sincèrement.
Je suis née quelques mois avant la glorieuse dixième Exposition universelle de Paris.
Celle de 1889, consacrée à la célébration de la Révolution française. Je suis née dans le Jura. Côté français. À Morbier. À côté d’un moulin à eau. Sous de fortes pentes enneigées. Au milieu d’horloges comtoises. Sous les effluves montants de caves aux vins élevés dans des barriques épaisses et lourdes en chêne, et celles de fromages vieillis sur des planches d’épicéa.
L’eau et le bois déterminaient la vie de la bourgade.
Je me rappelle le lancinant clapotement de l’eau remplissant les godets de la roue et le bruit de la chute de l’eau se déversant en dehors des godets.
Je me rappelle le silence angoissant quand une branche noyée dans l’eau déferlant du déversoir venait arracher quelques godets et arrêter le mouvement perpétuel généré.
Je me rappelle les cris, l’agitation des hommes affairés à retirer l’intruse, à scier, à clouer, à recaler la roue pour qu’elle puisse à nouveau rythmer le temps de sa complainte lente et égale.
Je me rappelle le doux balancier des horloges comtoises venues se refaire une beauté ou un soin, sentant le bois restauré, verni, dans cette pièce où elles me dominaient et me faisaient un peu peur. J’ai vite appris à comprendre qu’elles ne me toisaient pas, mais qu’elles souffraient d’être réunies ensemble dans une cacophonie assourdissante.
Notre maître à tous, Auguste, Gaudard de son nom, avait, je crois, compris cette douleur. Ou la débandade des sons blessait son oreille. Chaque jour, une seule horloge rythmait le temps. Il passait le matin, tournait une clé dans la tête de l’horloge et celle-ci donnait le tempo. Chacune avait un son différent. Je préférais Grenchen, la septième à partir de la cheminée où je trônais.
[…]
Elle était destinée à partir pour une petite ville de Suisse, Granges, mais son propriétaire tardait à venir la chercher, à ma grande satisfaction.
Mais je m’égare…
La douceur, la quiétude de l’eau, la ouate du pendule oscillant, le battant délicat qui égrenait les heures, ont contribué à développer chez moi l’apaisement, le culte du beau, que j’ai recherchés durant ma vie entière. Pourtant, souvent, j’ai eu la fureur comme compagne de vie…
Mais je m’égare encore… J’oublie tous mes devoirs. Il me faut d’abord vous raconter ma naissance…
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