La variété française appareillant en vedette américaine

Grand amoureux de la grande chanson française, j’ai toujours été passionné tant par la musique que par la chanson en tout genre. Et c’est justement à ce titre que je rédigerai plus de 3 volumes qui seront consacrés à la belle chanson de chez nous, c’est-à-dire 100 % Made in France !
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance de cet ouvrage en devenant partenaire de sa création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !

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Cet ouvrage intitulé La variété française appareillant en vedette américaine reste, et jusqu’à ce jour, un ouvrage sinon essentiel, du moins extrêmement instructif et cela à plus d’un titre. En effet, dans la mesure où parmi les millions de livres déjà publiés depuis des décennies, et tout aussi surprenant que cela puisse paraître, il n’existe en fin de compte, alors aucun livre digne de ce nom, et dont la mission première aurait été de tout simplement traiter ainsi du fameux phénomène de reprise de chansons françaises et pas par n’importe qui puisqu’il s’agit, en l’occurrence, de très grands artistes américains. Et d’ailleurs, la référence absolue en la matière n’est autre que l’œuvre de Claude François qui a pour titre Comme d’habitude, autrement dit celle qui est depuis devenue My Way via justement la méthodologie « à l’américaine ». Mais rassurez-vous, il n’y a pas que My Way qui aura fait cavalier seul ainsi au beau milieu d’une telle aventure, puisqu’à l’intérieur même de notre ouvrage, on ne manquera pas de rencontrer à cet effet d’autres figures mélodiques fort illustres et tout aussi légendaires les unes que les autres.

AVANT-PROPOS
Et comme une fois n’est pas coutume, car tout en faisant mine de narguer, et presque de façon cordiale ainsi tous ses concurrents, dès lors nos chers amis et congénères français, soit ceux-là mêmes qui ont déjà marqué si admirablement de leur empreinte, et bien au-delà même de leurs frontières ; non pas la face cachée de la lune ; mais bien plutôt celle du chant à proprement parler ; et cela à commencer d’ailleurs par les contrées qui leur sont tout naturellement proches, c’est-à-dire celles qui se situent au-dessus de la Manche, le Royaume-Uni en somme, eh bien face à tout ceci, on a donc fini par tous se convaincre, et puisque nul ne peut vraiment ignorer ainsi une telle chose, que l’état de notre patrimoine national ainsi en tant que tel se retrouve et en raison donc de toute cette contribution quelque peu invisible, comme désormais aucunement prompt à frôler en quelque sorte la « correctionnelle », et pour cause !
Ce dernier va, et une fois de plus, nous montrer que le coq sportif ne risque pas, en effet, de se contenter uniquement de suivre, tout comme il y avait lieu de le croire, dans un premier temps en tout cas, le mouvement pour le moins bancal de l’évolution des choses même qui l’entourent, d’autant plus que celui-ci étant depuis régi comme de façon sinon active, du moins réactive, et comme jamais avant d’ailleurs !
En effet, après avoir scruté à la loupe et à a faveur surtout de notre premier volume que j’avais précédemment publié sous le titre de La chanson française battant pavillon américain et qui était, du reste, consacré au même sujet qu’entend désormais soutenir notre présente étude, eh bien il faut reconnaître que depuis, il aura été comme formellement reconnu ; et c’est quelque part fort heureux pour nous tous, car preuves et notes à l’appui ; que finalement le fameux hymne de Sa Majesté, God save the Queen, avait été en fait orchestré en 1686, et qui plus est par des compatriotes qui répondant au passage à des noms bien français. Et derrière justement ces braves français, c’est avec plaisir qu’on retrouve le compositeur Jean-Baptiste Lully, alors accompagné d’une certaine Madame de Brinon ; c’est-à-dire une religieuse qui était chargée de veiller sur un pensionnat alors entièrement composé de jeunes filles. […]

  • Le budget souhaité

    Mon budget idéal serait de 990 €. La publication nécessite de participer à la correction, la mise en page, l’impression et la commercialisation afin que ce travail de création soit le mieux valorisé possible. Les participations seront réparties de cette manière : – 20 % pour la correction, la mise en page et la création de la couverture ; – 55 % pour l’impression. – 25 % pour la promotion. C’est pourquoi aujourd’hui je fais appel à vous, auteurs, lecteurs, passionnés de lecture ! Votre soutien me sera précieux et c’est pourquoi je vous propose différentes contreparties en échange de votre aimable soutien.