LE CHENE DE GARANCE
Après avoir écrit mes deux premiers romans, édités aux éditions Maïa, TE AMO, une histoire d’amour sur fond de guerre d’Espagne et 6 JOURS A PARIS, une histoire de guerre sur fond d’amour parisien, j’ai voulu réaliser le rêve de cet écolier pendu aux lèvres de son prof d’histoire, vivre la mythique aventure de la révolution française en 1789, j’ai aimé écrire cette fabuleuse escapade, je crois que ce roman se laissera dévorer comme la Bastille l’a éprouvée un jour d’été du 14 juillet 1789… je peux l’affirmer … j’y étais !
Originalité…
Le voyage dans des temps que l’on aurait voulu vivre, par curiosité, comment aimer des personnages imaginaires, qui auraient pu exister dans des temps réels d’histoire de France.
Pourquoi la promo-vente ?
J’ai aimé ce concept qui permet aux futurs lecteurs de participer à une œuvre, et de plus pouvoir la lire en se disant que c’est grâce à sa participation qu’un roman se trouve dans les bacs de libraires, c’est mon troisième roman, et pour moi le plus important, tant en volume qu’en émotion, donc j’espère que mon petit fan club sera au rendez-vous pour cette nouvelle aventure.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre et vous recevrez le livre en avant-première !
Garance après avoir fait un léger malaise cardiaque, décide de révéler a son petit-fils, aujourd’hui en âge de comprendre, le secret du chêne qui trône au beau milieu de son corps de ferme à Cournon d’Auvergne, ce chêne qui quelques années plus tôt avait ébranlé la quiétude de son mari Julien Destang , décédé depuis, ce chêne qui un soir d’été de 1960 leur avait causé une indélébile frayeur, une trombe de poussière importante s’engouffra dans la grosse excavation que le chêne portait depuis toujours sur son tronc, un orage énorme effraya les deux fermiers et l’horloge de la cuisine se mit à carillonner sans s’interrompre. Le lendemain, Julien Destang curieux s’introduisit dans la cavité du chêne et fut emporté par un épiphénomène intemporel qui le transporta dans sa cour de ferme… mais en 1788, la peur le fit revenir quelques heures plus tard dans son siècle, le pauvre Julien ne se remit jamais de sa promenade dans le temps, Garance la grand-mère de Victor, un jeune étudiant des beaux-arts du quartier latin de Paris, libertaire et rebelle du mois de mai 1968, elle lui révèle pour la première fois le secret du chêne, mais il pense que sa grand-mère n’a plus toute sa tête, il en parle à son ami d’enfance Gé qui a la même réaction que lui, ce dernier apprenti cuisinier à Clermont Ferrand, se trouvait ravi de venir retrouver son ami quelques semaines à Cournon D’Auvergne, pour les vacances de cette même année révolutionnaire. Victor dubitatif du récit de Garance propose à Gé de monter dans la cavité du chêne, un matin de retour de boite de nuit, les deux jeunes écervelés embrumés par l’alcool montent dans le chêne, une fois dans la cavité, ils entendent un bruit d’aspiration comme un ballon de baudruche qui se dégonfle et se retrouve dans le corps de ferme … mais en 1788.
Extrait
« La nuit était bien avancée, quand, dans mes souvenirs douloureux je vis l’image de Victor s’évanouir au moment où le bourreau lui assenait le 29eme coup de bâton, pour ma part les maux de mon dos me rappelais que j’avais subit le même sort quelques minutes avant sans avoir perdu connaissance, toutefois en tenant des larmes pleins les yeux !
Au petit matin, l’aubergiste vint nous réveiller en tambourinant à notre porte, la diligence pour Paris allait reprendre sa route dans l’heure, je payais l’aubergiste avec l’argent que nous avions récupérés le jour où les villageois avaient attaqué le château, le butin avait été maigre, mais assez conséquent pour avoir un peu de livres et de Louis d’avance.
Après avoir repris nos siège dans l’attelage, un curé de campagne pris place dans notre voiture, ses godillots très usés et sa soutane râpée laissait deviner qu’il n’incarnait pas un homme d’église du haut clergé, son salut angoissé me fit l’observer davantage, au moment où la diligence tirée cette fois par deux paires commença à cahoter vers la sortie de la ville, je m’aperçut que le curé regardait avec intensité mes santiag en peau de serpent, je saisis l’esquisse d’ un signe de croix discret.
Pour établir une ambiance de confiance, je lui demandais s’il allait à Paris, méfiant, il ne me répondit que d’un signe de tête, vu la réaction je n’insistais pas laissant un peu de temps pour faire connaissance.
Victor sorti sa pipe de sa poche et la bourra de son tabac odoriférant, puis une fois attisée, nous nous l’échangions comme si c’était un joint sous l’œil étonné de l’homme d’église, quelques heures plus tard Victor sorti de son baluchon de victuailles que l’auberg
iste nous avait vendu, en nous affirmant que le chemin jusqu’à Montluçon serait long, je perçu dans l’attitude du curé que le repas que nous allions réaliser l’intéressait, ses yeux dévoraient le morceaux de lard braisé que j’avais étalé entre deux tranches de bon pain blanc, Victor souri quand je lui offrit de partager notre repas, notre voyageur dévora comme s’il n’avait pas mangé depuis des jours, puis ce fut le tour du saucisson et du jambon braisé, l’homme rassasié devint plus loquace et plus souriant, il nous remercia, et une conversation s’installa,
Le ventre bien rempli avec des joues qui avaient repris des couleurs, le curé nous posa quelques questions sur notre voyage, comme d’habitude, nous répondions simplement que nous allions visiter de la famille à Paris. »
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Les étapes de la création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.