Description
Entre océan et montagne, il suffit parfois d’un secret pour juxtaposer deux lieux que tout oppose. Au cours de son exil, que cherche Adèle ? Quel est le lien qui unit passé et présent dans des circonstances d’une grande similitude ?
Quel est ce fil conducteur qui va alimenter en permanence votre lecture et surtout attiser votre curiosité ? À vous de le découvrir…
L’originalité de ce roman, c’est d’y avoir inclus des illustrations personnelles mises parfois en valeur par un style « bande dessinée ».
La destinée, c’est le chemin de toute une vie, avec son lot d’épreuves et de joies. Les électrochocs sont souvent le seul remède qui nous conduit vers une remise en question totale ou pas, mais en restant dans le déni, notre corps nous rappelle à l’ordre. Tous les mots écrits proviennent du plus profond de mes entrailles. Chaque ressenti vise à orienter les problématiques vers la solution ultime : « La guérison ». Alors que ce roman soit mon porte-parole et soit un catalyseur de prises de conscience et de développement constant de cet « AMOUR ET CETTE PAIX » dont nous avons TOUS besoin.
« Adèle est très perplexe devant ce fatras digne d’un vide-grenier. Face à ce désordre, elle se demande ce qu’elle fait là. Elle cherche à comprendre. Pourquoi l’a-t-on poussée à franchir le seuil de ces combles ?? Si au moins, elle avait un indice. Elle retrace les événements de cette nuit torride mais n’en retire aucune information. Elle a beau tourner et retourner la problématique dans sa tête à la recherche d’un signe, rien, rien de rien !! C’est un immense trou noir !! Comme si tout avait été effacé de sa mémoire, comme si son disque dur avait été formaté pour enregistrer de nouvelles données, de récentes informations. Bénéficiant d’un soupçon de lumière émanant du velux encrassé par des années d’indifférence, Adèle scrute dans la semi-clarté en habituant progressivement son regard à l’obscurité. À première vue, rien, rien de particulier puis subitement, elle est attirée par quelque chose sur le sol, ça brille. Oui, ça brille, ça brille faiblement et pourtant ça rayonne suffisamment pour l’interpeller. Elle se penche, s’empare de l’objet et constate que c’est une petite clef à l’orfèvrerie raffinée.
Au premier contact, cet objet inhabituel lui brûle le bout des doigts. Surprise, elle le laisse retomber sur le lit de poussière qui recouvre le sol de sa pellicule de crasse, laissant derrière elle son empreinte. Le saisissant une seconde fois, le contact est différent, plus doux, presque magique. Au toucher, Adèle perçoit comme un fil conducteur, un lien qui la relie à cette chose en métal. La sensation est étrange, tout comme l’ambiance qui règne dans ce grenier. Puis, son côté jovial et son humour habituel effacent cette appréhension. Adèle s’exclame : “voici la clef du bonheur ou mieux encore, d’un lieu mystérieux !!” Entrebâillant la porte de la vieille armoire, elle crie, “Et pourquoi pas la porte du Monde de Narnia !!!” »