Le souffle de l’aventure, la bataille des Pyrénées

Né en 1958, Serge Siffermann a écrit son deuxième roman avec sa passion habituelle de l’épopée Napoléonienne et l’envie de faire connaitre le destin incroyable de son ancêtre le grenadier et commandant Jean David Siffermann.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

1 006,00 de préventes
14 Contributeurs
0 Days Left
Préventes :
101.62%
Objectif : 990,00
Projet abouti !
Creator
1 Projet(s)

Le commandant Jean David Siffermann et ses amis, vont devoir lutter contre les chevaliers de la Foi. Assassinats, complots contre l’Empire, Jean David devra lutter contre un adversaire impitoyable et sans états d’âme.
A la tête de son bataillon, il combattra les Ecossais à Vitoria. Puis les troupes anglaises de Wellington à Orthez. Enfin il sera au cœur de l’action à Toulouse.
Le souffle de l’aventure II, nous emporte une fois de plus au cœur de l’épopée Napoléonienne. Cette bataille de Toulouse moins connue que les batailles d’Austerlitz, Iéna ou Leipzig nous fait découvrir un autre visage de la Grande Armée.
Hélène, Paul, le Général Semellé, nous les retrouvons dans ce nouveau roman de Serge Siffermann avec une certaine gourmandise.
Alors laissez-vous emporter par ce deuxième tome du Souffle de l’Aventure.

Extrait

15 Juin 1813, le capitaine Jean David Siffermann se penche au-dessus du corps du sergent Bréauté, il a été égorgé, le ou les assassins ne lui ont laissé aucune chance.

  • Il ne manquait plus que cela, un meurtre ! Avec cette bataille qui se profile, on a déjà assez de problèmes. Naturellement, tu ne dis rien Jean David !
  • Je t’écoute Paul, je t’écoute, mais laisse-moi réfléchir si tu veux que je te donne mon avis.

Comme à son habitude, le lieutenant Paul Sancré se mit à maugréer dans sa barbe. J’avais sauvé la vie de Paul pendant le combat de Bosco le 24 octobre 1799 lors de la campagne d’Italie (*). Depuis ce jour, nous étions devenus inséparables, plus que des amis, nous étions des frères. En retournant le corps du sergent qui était garrotté sur son lit, un objet tomba sur le sol et se mit à rouler vers la porte de la chambre. Le talon de ma botte stoppa net l’élan de cet objet. Entre mon pouce et mon index, je tenais un anneau en argent à l’intérieur duquel était gravé le mot CARITAS.

  • Tu sais ce que cela veut dire Caritas me demanda Paul.
  • La vérité c’est Amour, Véritas Caritas en latin, on trouve cette locution inscrite sur des bas-reliefs d’autels dans certaines églises. Mais ce qui est le plus troublant Paul, c’est qu’avant de mourir mon cousin Andréas (*) m’a murmuré à l’oreille le mot Caritas, et de faire attention aux chevaliers de la foi qui en voudraient à la vie de l’Empereur.
  • Tu ne me l’avais jamais dit.
  • Non, car je croyais qu’Andréas divaguait, mais apparemment ce n’est peut-être pas le cas.

Soudain, le grenadier Seltz apparut tout essoufflé sur le pas de la porte.

  • Mon capitaine, le général Semellé vous demande.
  • Grenadier Seltz, dites au général que j’arrive !

Paul occupe-toi de la dépouille du sergent Bréauté, fouille ses vêtements et la pièce pour voir si tu ne trouves pas d’autres indices, ramasse tous ses papiers militaires, et personnel, puis va déposer le tout chez le capitaine Bourdot. Après, rejoins-moi au quartier général.

En sortant de l’hostal, Jean David se dirigea vers la grande place.

Paul de son côté avait rassemblé toutes les affaires du sergent Bréauté, son corps avait été enlevé par deux brancardiers du service de santé. Le lieutenant Sancré allait sortir de la chambre quand son attention fut attirée par une boule blanche qui se trouvait sous une chaise, Paul se baissa et ramassa l’objet qui était en fait un brûle-gueule, une pipe en terre blanche, à queue cassée très courte, exprès pour pouvoir la loger dans le turban du shako. Il fouilla dans les affaires de Bréauté et trouva la pipe du sergent. L’assassin était donc un militaire !

 

(*) Voir : Serge Siffermann, le souffle de l’aventure.

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels