Le tour du monde sans fromage
Ce livre est le récit d’un voyage autour du monde en couple, en sac à dos, qui a duré un an. Égoïstement, je l’ai écrit pour revivre cette aventure. Je voulais sauter à pieds joints dans cette épopée, aussi invraisemblable que désopilante, et la terminer 300 pages plus loin. Parfois, je me demande encore si c’est vraiment moi qui ai vécu tout ça.
« Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus ! »

Ce livre n’est pas un livre de voyage. C’est une compilation de dizaines de situations inattendues qui se suivent à travers plusieurs pays… Ah ben si, c’est un livre de voyage en fait ! Ce récit vous est présenté tel qu’il a été vécu, avec simplicité, curiosité et un max de mauvaise foi. De l’imperméable culture chinoise aux vastes plaines désertes de Patagonie en passant par l’Inde, horrible et belle, douce et piquante, le monde nous a été servi sur un plateau. Même s’il manque cruellement de fromage.
Vous l’aurez compris, ce livre se démarque par le ton employé. Je me suis amusé à découvrir le monde et j’espère que tous les lecteurs s’amuseront à le lire.
Vous aimez les voyages et les guéridons en acajou massif ?
Ce livre est à moitié fait pour vous !
Extrait
« Manger du canard laqué et visiter la Cité Interdite, c’est sympa, mais ils ont construit un muret mondialement connu long de six mille kilomètres non loin de là. Ça vaut peut-être le coup d’œil !
Notre arrivée à l’auberge Dongpo est un événement cataclysmique dans ma vie aseptisée de petit Occidental. Liu, le patron, envoie quatre plats plus énigmatiques les uns que les autres sur la table, où chacun se sert, les toilettes sont un trou dans le sol sur un côté de la cour et les lits sont en béton. Fait extraordinaire : depuis ces trois endroits, j’arrive à voir le soleil se coucher derrière la Grande Muraille, en prenant soin de détailler ses contours brumeux. La légende raconte qu’on la voit depuis la Lune. Même si c’était vrai, on la voit beaucoup mieux depuis la Terre !
À cinq heures trente du matin, l’entrée de Jinshanling est aussi déserte que la rue principale d’une ville du Far West où deux cowboys se sont mutuellement jurés exécution. L’air est frais et humide, le filigrane brumeux de la nuit quitte sa léthargie pour lever son voile de l’édifice en pierre comme on enlève une couverture.
Des trois entrées touristiques de la Grande Muraille, c’est la moins empruntée, car c’est la plus difficilement accessible. Depuis sa création, envahisseurs et touristes confondus, la Grande Muraille de Chine n’a laissé passer aucune personne qui n’y était pas autorisée.
Pendant quelques heures et sur six kilomètres, deux fourmis se baladent sur le dos d’un serpent de pierre géant, intelligemment rangé dans la collection « merveilles du monde moderne » par les spécialistes du tourisme contemporain. »
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.

