Les 5 fantômes de Babylone – Journal d’une enquête

Picky Blue, c’est qui ? A la ville, il s’agit de Myriam Vallet qui œuvre au sein de deux associations sensibilisées par la cause autistique. Etant elle-même autiste asperger, elle aspire à faire évoluer les mentalités et les préjugés sur ce syndrome (trop méconnu) après du grand public. C’est aussi sous ce nom qu’elle a publié deux romans pour la jeunesse : Sacrée Vache et Tempo Délice.

Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à en faire un succès lors de sa prochaine parution avec les Éditions Maïa. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez mentionnés dans le livre dans la page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Picky Blue est connue sous le nom de La femme caméléon. Elle présente sur Instagram ses collages, ses montages photos, ses mosaïques, etc. Ses toiles, présentées lors d’expositions, s’inspirent de la discographie de Serge Gainsbourg, du Pop Art de Jean-Michel Basquiat, mais aussi de l’art brut africain (https://www.instagram.com/lafemmecameleon_lemag/)

La lecture de son nouveau roman, Les 5 fantômes de Babylone – Journal d’une enquête, s’apparente au visionnage d’un bon film tant l’écriture de cette œuvre originale suit le déroulement d’un scénario où se jouent des histoires à tiroirs. Il s’agit d’une combinaison parfaite entre fantastique, aventure, suspense et Steampunk. Une lutte sans merci entre l’ombre et la lumière, entre humour et humour noir.

Les 5 fantômes de Babylone – Journal d’une enquête

Jeunes lecteurs, adultes bouquineurs et séniors dévoreurs de littérature suivront avec délice l’enquête menée par une équipe plurigénérationnelle de détectives, dans un décor insolite. Classé dans la catégorie « entre deux mondes », ce livre  fantastique est aussi un roman d’aventure à l’atmosphère Steampunk où le suspense s’offre une place de choix. L’enquête qui y est menée tambour battant ne cesse de rebondir grâce à ses indices et ses coups de théâtre. Les héros n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Tout comme le lecteur qui restera en haleine jusqu’à la dernière page.

Si le récit nous plonge au cœur de l’imaginaire, les lieux et les coutumes présentés ont nécessité un travail de recherche assidu. Que ce soit sur Babylone et les mésopotamiens, les cabinets de curiosités, les automates ou encore les instruments de torture au Moyen-Âge et bien d’autres : rien n’a été laissé au hasard. Ce travail méticuleux génère la qualité du récit. Après des années d’écriture, d’investigations, de relectures et de corrections, ce roman mature doit désormais prendre son envol pour exister car il le mérite.

Tout comme un bon médicament, il serait tentant de coller en quatrième de couverture : « satisfait ou remboursé » ! En choisissant de parrainer ce projet, vous, premiers lecteurs, devenez à votre tour « les élus » (pour comprendre la référence « à votre tour », je vous invite à lire Les 5 fantômes de Babylone).
Non seulement vous serez les gardiens d’une profession en danger, les imprimeurs, mais aussi les gardiens d’une espèce à protéger, la Picky Blue 2.0, qui a encore plein d’histoires à raconter. Cette dernière n’aura pas assez de mots pour vous remercier chaleureusement de votre généreuse action. Alors dès à présent : « Un Grand Merci ! ».

Extrait

« Auguste possédait un cheval nommé Satanas. C’était un pur-sang rescapé d’une ferme où les propriétaires l’avaient si bien martyrisé qu’il avait fallu le rafistoler à coup de plaques de métal. Il ne lui restait dès lors que peu d’organes viables et d’origine. Toutefois, Léopold lui avait construit un exosquelette dernière génération. Bien qu’il ressemblait à un robot, cet animal broutait comme quatre ! Grand-père disait souvent en riant que son abdomen était l’unique vestige de sa nature équestre !
Sa « carrosserie », puisqu’on ne pouvait résolument qualifier de peau cet assemblage de matières, était en tous points finement façonnée. Satanas avait bénéficié d’un joli travail de restauration. Il portait sa carcasse avec panache et avait fait de son handicap une coquetterie. Il semblait s’accommoder de sa nouvelle condition princière. Lorsqu’il humait l’air, ses naseaux se dilataient avec condescendance. Je le comparais à ces cocottes parisiennes perchées sur leurs talons, dont les robes à faux cul accentuaient la cambrure des reins. Tout comme Satanas trottant sur ses sabots, elles arpentaient les rues de la capitale avec ce petit air hautain dont se parent les jolies femmes.
Je n’ai jamais su quel âge avait Satanas : grand-père n’avait pu me renseigner à ce sujet. L’héritage de mon arrière-grand-père englobait Babylone, le mobilier et le canasson. C’était un lot à prendre ou à laisser. Aux yeux du notaire, Satanas avait eu autant de valeur qu’une bicyclette. À partir du moment où l’engin fonctionnait, peu importait son année de mise en service !
Le destrier appréciait les bons soins prodigués par Auguste. Et bien loin de l’envisager comme un vulgaire outil, l’animal était considéré comme un membre de notre famille. Satanas m’appartenait un peu par procuration et moi qui rêvais de posséder un compagnon domestique, ce que maman m’avait toujours refusé, j’étais ravi d’avoir ce cheval sous notre toit. Je rendais visite à Satanas tous les jours dans son box. Grand-père m’avait appris à huiler ses boulons et à faire reluire sa croupe. (…) »

  • Les étapes de la création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.