Ce livre propose une vision renouvelée de la chevalerie, adaptée aux défis du XXIe siècle. Loin des clichés médiévaux, il invite le lecteur à devenir un « chevalier moderne », armé de compassion et de courage pour combattre les injustices de notre temps. En puisant dans les valeurs ancestrales, l’ouvrage offre une perspective originale et inspirante pour construire un monde meilleur.

Ce livre s’adresse à tous ceux en quête de sens et d’engagement, qu’ils soient jeunes adultes, amateurs de littérature engagée ou simplement curieux de repenser notre rapport au monde. Il est un appel à l’action, invitant chacun à devenir un acteur du changement et à rejoindre une communauté de personnes partageant les mêmes idéaux.

Extrait de  Lettre ouverte d’un cri d’humanité  de Cédric Casagrande Gely

 » Lorsque la manipulation et l’intimidation ne suffisent plus, les partisans du statu quo n’hésitent pas à recourir à la force brute. L’appareil judiciaire et les forces de l’ordre, souvent sous-payés et démoralisés, sont instrumentalisés pour réprimer toute dissidence et protéger les intérêts des puissants. On leur fait porter la haine du peuple, alors qu’ils ne sont que les instruments d’un système injuste. Ils se retrouvent pris entre le feu et l’enclume, confrontés à des ordres contradictoires et à la colère d’une population exaspérée. Les infirmiers, eux aussi mal payés et surmenés, se voient contraints de nettoyer les dégâts causés par la répression. Ils sont les témoins impuissants des souffrances et des injustices qui découlent d’un système défaillant.
Les exemples d’injustice s’accumulent, noircissant des pages entières, des livres entiers. Les procès pour corruption de nos gouvernants se succèdent, sans que les coupables soient jamais réellement punis ; certains, même, sont réélus. Face à cette situation, comment ne pas comprendre la résignation de ceux qui ne croient plus au changement et préfèrent se contenter d’une vie paisible, loin du tumulte ?
Comment ne pas comprendre ceux qui abandonnent le combat global pour se concentrer sur des actions locales, espérant ainsi changer un petit bout du monde ? Comment ne pas comprendre ceux qui se sentent opprimés en raison de leur orientation sexuelle, de leur couleur de peau, de leur genre, de leur religion ou de leur condition sociale, et qui se focalisent sur leur propre situation, comme si c’était le seul combat qui valait la peine d’être mené ?
Il est crucial de comprendre les mécanismes qui poussent à la résignation. La confrontation permanente à l’injustice peut mener au découragement et à l’impuissance. Le sentiment que le système est en place et qu’il est impossible de le changer peut conduire à l’abandon de tout espoir.«