Pour un baiser

Je m’appelle Éric Frimat. J’ai toujours eu en moi l’envie d’écrire chevillée au corps. Un jour, j’ai décidé de sauter le pas et depuis je ne le regrette pas. Après avoir terminé l’écriture de ce premier roman, je finalise actuellement le second.
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !

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Être au mauvais endroit au mauvais moment, sans avoir la possibilité de justifier son emploi du temps, m’a toujours fasciné. À partir de ce postulat, j’ai développé une intrigue, commençant par une tentative d’extorsion d’un baiser, qui est prétexte à faire se rencontrer des personnes que tout aurait dû séparer. Entre réflexion sur le handicap et petites histoires de lâchetés ordinaires, « Pour un baiser » raconte comment un événement fortuit amène des individus à se révéler, en les amenant à découvrir des aspects de leur personnalité qu’ils ignoraient jusque-là.
Que se passerait-il si vous étiez injustement accusé d’un acte odieux, si vous perdiez brutalement l’usage de vos jambes ou si vous étiez confronté à une révélation qui bouleverse durablement votre existence ? Face à ce type d’épreuves, nous réagirions différemment. Il est difficile d’anticiper si nous aurions le courage d’affronter la réalité ou si nous refuserions de l’accepter. Dans ce roman, j’ai essayé d’aborder ces éventualités avec un regard bienveillant sur les forces et les faiblesses d’individus que rien ne préparait aux événements qu’ils vont vivre.
En m’aidant à donner corps à ce roman, vous participerez à mon projet d’édition, et si par la suite, je réussissais à élargir mon lectorat, vous pourriez alors vous dire : « J’ai participé à son premier roman ! ». Je vous remercie par avance pour votre générosité.

« Bertrand ne sait toujours pas ce qui lui a pris. Ni à ce moment, que son comportement va bouleverser le destin de plusieurs personnes, y compris le sien.
Il a eu à nouveau ce geste fou. Une jeune femme blonde qu’il a repérée quelques minutes auparavant. Il l’a suivie et a voulu l’embrasser, et c’est là que tout a dérapé.
Il s’est approché d’elle. Elle a eu un mouvement de recul. Il a lu sur son visage un mélange de surprise et de peur. Elle a perdu l’équilibre et elle est tombée.
Dans sa chute, la femme a heurté avec sa tête l’arête d’un mur. Son corps s’est affalé lourdement, dans le renfoncement de la porte d’un immeuble. Après ça, elle n’a plus bougé.
Bertrand revoit la scène défiler. Une scène où il a du mal à s’imaginer acteur. Il voit du sang s’écouler de la tête de la jeune femme. Et si elle était morte ? À cette éventualité, Bertrand se sent envahi par une peur panique. Tout s’accélère alors. Il entre dans un état second et perd sa capacité de raisonnement. La seule chose qu’il comprend de façon intuitive c’est qu’il ne faut pas qu’on le voie près du corps. Il n’a pas d’autre solution que de fuir.
Mais pourquoi n’arrive-t-il pas à maîtriser ses pulsions ? D’habitude, cela ne se passe pas comme cela. La fille crie. Il rigole et s’en va. Et puis c’est tout. Pas de quoi en faire un drame ! Mais là, c’est différent.
L’alcool aidant, Bertrand a encore fait n’importe quoi. Et maintenant, tout est trop rapide. Le sang. La fille qui ne bouge plus. La lâcheté et la peur de devoir répondre de ses actes prennent le dessus, et l’éventualité d’appeler les secours ne lui effleure même pas l’esprit.
Le temps orageux ajoute à sa confusion. Il ne pense plus qu’à s’enfuir. Au plus vite. Mettre le plus de distance possible avec la victime de son comportement douteux.
La pluie commence alors à tomber.
Il fait demi-tour et remonte la rue en courant, manquant de renverser un homme qui arrive en sens inverse. Il l’entend jurer mais ne se retourne pas.
Et dire qu’au départ, il ne quémandait qu’un simple baiser. C’était vraiment trop lui demander, un simple petit baiser ! »

  • Le budget souhaité

    Mon budget idéal serait de 990 €. La publication nécessite de participer à la correction, la mise en page, l’impression et la commercialisation afin que ce travail de création soit le mieux valorisé possible. Les participations seront réparties de cette manière : – 20 % pour la correction, la mise en page et la création de la couverture ; – 55 % pour l’impression. – 25 % pour la promotion. C’est pourquoi aujourd’hui je fais appel à vous, auteurs, lecteurs, passionnés de lecture ! Votre soutien me sera précieux et c’est pourquoi je vous propose différentes contreparties en échange de votre aimable soutien.