Ce livre parle de ce que j’ai subi jusqu’à mes 21 ans, la torture infligée par mes parents.
Beaucoup de personnes sont victimes et mon souhait, à travers le fait de raconter mon histoire est de les aider. Des enfants, des femmes, des hommes se suicident suite aux souffrances qu’on leur a infligées.
Les êtres humains sont capables du meilleur comme du pire.
Personne n’a rien fait pour m’aider, tout comme ce qui concerne la persécution que j’aie subit sur internet.

Où sont les lois pour protéger les victimes ? Est-ce que le gouvernement va mettre en place des lois pour les protéger ?
L’originalité de ce livre tient dans ces deux questions. C’est un livre coup de poing. L’originalité tient également dans mon don de voyance et de médiumnité dont je parle aussi.

Les gens pourraient participer à la création de ce livre pour le simple fait de vouloir aider toutes ces personnes victimes de torture et pouvoir faire en sorte qu’elles puissent être libérées des tortionnaires plus rapidement que je n’ai pu l’être. C’est tellement de souffrance et j’en porte aujourd’hui encore le poids.

Extrait

Ce livre raconte principalement l’histoire de mon enfance ainsi que la découverte de mon don de voyance et de médium. Ce livre évoque également ma vie d’adulte, les difficultés traversées mais aussi le lien indéfectible avec ce qui nous dépasse.
J’ai été torturée par mes parents. Ma venue au monde ne s’est pas bien passée. Ma mère a failli mourir. Cette femme m’a détesté jusqu’à son dernier souffle. J’ai supporté des coups sans limites, des cheveux arrachés, des étranglements, des gifles sur la joue à en saigner du nez, des coups de martinet.
Il ne s’est pas passé un seul jour sans que je subisse les coups de la part de mes parents qui me prenaient pour un punch in baule. Chacun d’entre eux avaient une force démesurée.

Les membres de ma famille savaient ce que je vivais, les voisins, l’école, les médecins aussi mais personne ne m’a aidée. Personne n’a rien fait.
Mon père m’a tapé jusqu’à mes 17ans. Le calvaire avec ma mère a duré jusqu’à mes 21ans. Ça s’est arrêté lorsque je suis partie de la maison avec mon mari.
La torture est revenue dans ma vie avec la calomnie sur internet. Je suis une victime. Cela m’a fait perdre toute dignité humaine avec l’envie de me suicider mais Dieu n’est pas resté indifférent.
Je porte la croix de Jésus Christ le Seigneur.
Je suis torturée par des démons qui viennent m’insulter jour et nuit. Je me protège avec des crucifix.
Les exorcismes avec un père catholique n’y ont rien fait mais les saintes, les saints et les anges
gardiens sont là pour m’aider dans ma souffrance. Ils combattent les démons avec moi. Étrangement, ces derniers m’insultent de la même chose que ce dont on m’accuse sur internet. Je subis des insultes dans la rue de la part de personnes que je ne connais pas. J’ai choisi de me cloîtrer et de prier. Je fais 50 prières par jour. Je fais en sorte de vivre loin de la méchanceté des âmes du purgatoire, des langues de vipères sur les réseaux sociaux.
Je considère internet comme le diable qui tisse sa toile pour la fin du monde.

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Il y a un monsieur aussi qui cherchait sa femme, Carmélia. C’était au tout début de l’année 2010, au moment où je suis arrivée dans la maison. J’ai vu une femme qui se regardait dans un miroir. Elle se coiffait. Une belle femme, brune, avec de beaux cheveux ondulés. Leur maison était magnifique, bien plus grande que ma maison. Il y avait à l’entrée un énorme escalier blanc en crochet. On pouvait monter des deux côtés. A mon avis, nous étions en 1800. Monsieur et Madame organisaient des soirées. Les personnes étaient bien habillées, avec de bonnes situations.
Et puis j’ai vu dans les escaliers des hommes qui étaient fâchés. C’étaient des résistants plein de haine qui avaient des armes, des bâtons et qui montaient les marches 4 à 4. Ils venaient agresser un homme et une femme qui étaient en train de dormir au même endroit que notre chambre. Leur lit était à la même place. Ils les ont fait descendre du lit en les accusant de collaboration. C’était pendant la 2ème guerre mondiale. La vision s’est arrêtée là.