Un espoir pour l’humanité
par Ulysse Gravier
Un espoir pour l’humanité, bien qu’appartenant à la catégorie de la spiritualité, se présente également comme une biographie, enrichie de mes propres expériences, et comme un essai, qui propose des solutions concrètes. Je conserve l’espoir qu’à la fin de ce périple, tu auras trouvé des réponses à tes questions, car, avouons-le, nous sommes tous en quête de réponses. Un des messages de ce livre est des plus important, je te souhaite de le découvrir. Alors, es-tu prêt(e) pour cette aventure ?
Je vous propose de participer à la prévente organisée par les éditions Maïa. Plus les préventes seront nombreuses Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus !

J’ai mis plus de 40 ans à découvrir, qu’en définitive, il y avait une partie immergée dans le livre intitulé La Vie des Maîtres, écrit au début du siècle dernier par Baird Spalding. Celle-ci semblait inaccessible lors de mes diverses relectures, même après avoir parcouru le livre plusieurs fois. Elle remet en cause toutes nos croyances et nos certitudes concernant la maladie, la souffrance, la pénurie et la mort. Ainsi, cher lecteur, chère lectrice, je me permets de te tutoyer tout au long de mon livre et t’invite à explorer cette dimension, qui révolutionne nos perceptions.
Extrait de Un espoir pour l’humanité par Ulysse Gravier
Les quatre calamités dont souffre l’humanité sont comme on le sait : la souffrance, la maladie, la mort et la pénurie. Pour les trois premières, toute l’humanité est sur le même pied d’égalité, pourrait-on dire. En effet, le fait d’être malade, de souffrir ou de mourir n’influence pas les autres personnes. Car pour la souffrance par exemple, il n’existe pas « un capital » souffrance, qui ferait que si ce capital s’épuise, je n’ai plus de raison de souffrir, cela est en effet irréaliste. La souffrance est personnelle, elle est indépendante des individus. De même, si je suis malade, il n’y a pas « un capital » maladie qui ferait que s’il y a trop de monde malade, ce capital serait épuisé et je devrais ainsi rester en bonne santé.
Enfin, on peut faire le raisonnement pour la mort, là aussi il n’y a pas de « capital » mort, on sait très bien que cela ne se passe pas comme cela.
Pour la pénurie, les choses se compliquent, car ici la notion de capital existe, comme tu le sais bien, on ne peut pas sans limites faire fonctionner la planche à billets. C’était de mettre un peu d’humour !!!
SOMMAIRE
Chapitre 1 : L’État des lieux
1-1. Ilona est morte
1-2. Mes interrogations
1-3. L’impatience et la souffrance
1-4. L’aide et l’acceptation
1-5. Les limites du corps et de la médecine
1-6. Mes premières expériences
Chapitre 2 : Les révélations
2-1. L’humanité cette inconnue
2-2. Nourriture spirituelle
2-3. Le sentier
2-4. Force Spirituelle
2-5. Renaître à nouveau
Chapitre 3 : L’espoir
3-1. Preuves de miracles
3-2. Notre corps est notre ami
3-3. Traitement des maladies
Chapitre 4 : Transcendance
4-1. Le vieillissement et la mort
4-2. Démarche spirituelle
4-3. Quitter l’égrégore
Resterais-tu dans la certitude qu’aucun de ces chapitres ne puisse pas t’interpeller ?
Précédentes publications
- L’humanité enfant prodigue, 2020
- Comment être aidé pour pouvoir accepter d’être aidé, 2022.
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