Une de plus ou de moins
Je m’appelle Léa Cestari, j’ai 20 ans et vis à Saint-Ouen-l’Aumône dans le Val-d’Oise. Je suis actuellement en CDD. J’ai toujours aimé écrire plus jeune, j’avais même une page Facebook dédiée à mes textes que j’ai délaissée en grandissant. Aujourd’hui, ayant vécu une histoire qui m’a chamboulée, j’ai décidé de vous en faire part. J’étais jeune et je pense que beaucoup peuvent être dans la même situation que moi ou connaître quelqu’un qui s’y trouve.
À l’époque, je n’avais que 16 ans et étais très amoureuse de cet homme qui, à la fin, m’a fait vivre une belle et douce escapade en enfer. Seriez vous tentés de vivre cette histoire à travers mes lignes ?
Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir partenaires de cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre que vous recevrez en avant-première !
Le thème de ce livre, c’est la violence conjugale, il est très important pour moi car il raconte ce que j’ai vécu avec mon ex-copain, je n’étais encore qu’une ado. Le but de ce livre a d’abord été de me soulager moi, mais je me suis dit que beaucoup de gens ignoraient encore ce genre de comportements. Beaucoup ne savent même pas qu’ils sont dans une relation toxique, qu’ils sont victimes. Mais aussi ce livre s’adresse aux victimes pour qu’elles ne se sentent pas seules et leur dire qu’on s’en sort avec le temps !
C’est un roman inspiré de faits réels, beaucoup de femmes pourront s’y identifier. Je souhaiterais que vous participiez à ce projet pour véhiculer un message qui est celui de sortir du silence et quoi qu’il puisse arriver en sortir plus fort encore. À travers ce roman vous pourrez comprendre ce qu’est un homme dit pervers narcissique et peut-être aider des femmes sous emprise à ouvrir les yeux et mettre fin à la Loi dite du silence.
« […] Et là, je commence à dérouler les volets, il était grave surpris mais me dit “Ah ! T’es sérieuse, tu pars ?” puis il a rigolé et dit “Tu vas aller où ? À cette heure-là, il n’y a plus de trains.” Mais sa voix était agressive.
Son ami me disait “Léa, ne passe pas par la fenêtre, tu vas aller où ? S’il te plaît, Léa, je vais m’inquiéter.” Je le regardais en pleurant et lui répondis “C’est une vie, ça ? J’ai fait quoi, putain ! IL AURAIT DÛ ME TUER LA PREMIÈRE FOIS QU’IL A LEVÉ LA MAIN SUR MOI.” Et je continuais de dérouler le volet puis, une fois passée par la fenêtre mon “copain”, il me cria “NE REVIENS PLUS, SALE PUTE !” et insulta ma famille et poursuivit “T’AS QU’A ALLER CHEZ TA SŒUR LA PUTE !”. Je ne sais pas ce que j’avais dans le cul, c’est peut-être parce que j’étais loin, je lui ai crié “T’AS RAISON, JE VAIS ALLER CHEZ MA SŒUR LA PUTE, ENCULÉ DE TES MORTS.”
Et là, dans ma tête, j’étais grave fière de moi ! Je lui tenais tête, là j’étais une Warrior ! Mais je ne suis pas restée planté là et je suis vite barrée. J’ai appelé une dame dont je promenais le chien, je m’étais confiée à cette femme sur mon passé, elle m’avait dit de faire attention à moi et que si extrême urgence, je pouvais l’appeler. Je l’ai appelée en pleurs et je suis tombée sur son répondeur. Je me suis dit “Tu ne peux compter sur personne, c’est toi, et toi seule…”
J’avais ma meilleure amie en SMS et limite je lui faisais mes adieux comme si j’allais mourir… […] »
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.