Entretien avec Benassai Yourid – Les affabulations du défunt

Entretien avec Benassai Yourid – Les affabulations du défunt

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

On est toujours content quand un travail aboutit, une grande satisfaction bien-sur.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

je ne sais pas si c’est les premiers lecteurs, cependant je n’ai pas reçu de retour négatif ,peut-être que certains n’ont pas osé encore le manifester.

Beaucoup ont apprécié le coté féministe et la critique assez acerbe de cette société particulière, qu’est la société Algérienne.

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

L’expérience de cette édition a été bonne la solidarité des proches m’ a permis de l’éditer sauf que je n’oserai pas la renouveler.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

L’originalité de ce livre serait de faire parler un défunt heureusement que il est paru après celui d’Alain Mabangouckou,il a ,parait-il sorti un livre dans ce sens ,que je n’ai pas encore lu.

Cette originalité a été certes remarquée par certains lecteurs.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Je ne suis pas un écrivain, je me considère comme un modeste conteur, j’écris en me promenant avec un petit cahier ,je m’assoies et je regarde les gens et je me remets dans le sujet , ou l’histoire ,c’est souvent le vécu de gens de mon entourage ou que j’ai connu ,ou tout simplement entendu parler.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Je suis sur un projet qui avance tranquillement. C’est toujours l’histoire ou les histoires de drames pendant et après la guerre d’Algérie.

Benassai Yourid, auteur de Les affabulations du défunt, disponible sur le site des Éditions Maïa. Cliquez ici pour le découvrir.