Entretien avec Falla K. – Smile ; au-delà des apparences

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les premiers lecteurs ont trouvé le livre émouvant, touchant avec des touches d’espoirs pour la vie.

Il y a des notes d’humour et des évènements dramatique…Une vie bien remplie tout simplement.

Ils l’ont trouvé facile à lire, ont aimé la transparence et la simplicité avec laquelle je dévoile mes expériences. Ils m’ont remercié d’être sans filtre tout le long du livre, et ont aimé le style d’écriture. J’ai été totalement autodidacte pour ce premier ouvrage, alors j’apprécie d’autant plus chaque retour positif de mes lecteurs.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

J’ai écrit mon roman autobiographique avec un langage simple et accessible à tous. J’ai exclu certaines règles de littérature d’un roman, mais c’était volontaire. Je voulais avoir une proximité avec le lecteur afin qu’il puisse s’identifier à mon personnage et à ma personnalité. La lecture de mon livre est tellement simple qu’elle peut donner l’impression que tous le monde peut tenter sa chance et publier un bouquin, donc le pari est réussi.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Ayant une histoire personnelle riche en expériences, j’avais pensé à écrire mes mémoires. Je ne savais pas si je les publierai un jour. J’ai commencé à écrire mes premiers chapitres sur un cahier de brouillon pendant le confinement, avec un simple crayon à papier à la main. Au départ, j’ai simplement écrit quelques notes avec les personnages importants de ma vie. Puis, j’ai ajouté des dates, des endroits, et des évènements marquants. J’ai ensuite établi mon histoire par ordre chronologique et tous mis au propre. Pour trouver l’inspiration, j’ai rédigé les chapitres dans ma chambre car c’est l’endroit où je me sentais le plus à l’aise. Quand je rencontrais des difficultés à rédiger certains chapitres, je faisais une pause de plusieurs jours, voir plusieurs mois sans me mettre de pression.

J’ai privilégié la qualité des mots plutôt que la quantité et écrire ce bouquin était une sacrée aventure !