Entretien avec Valérie Traineau – Connexions célestes

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

Lorsque mon livre a été publié j’ai ressenti un sentiment d’accomplissement, de concrétisation de tout ce travail effectué durant des mois.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les premiers retours ont été positifs, beaucoup de personnes se sont reconnues dans mes écrits, ce livre a été un « mode d’emploi des émotions » pour certaines personnes, un guide pour d’autres, une compréhension de la vie sur terre encore, pour d’autres.

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

Je me rends compte des embuches que rencontre un auteur avant de trouver un éditeur et de concrétiser un projet, de le voir naitre et grandir et évoluer. Ecrire sans être connu comme auteur ressemble un peu à un parcours du combattant.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

L’originalité de mon livre tient du fait que la façon de communiquer avec l’au-delà n’a jamais été utilisée de cette manière, elle s’adapte à toutes les personnes quand aux messages reçus, car chaque message s’adresse en particulier à la personne qui le reçoit. Cet ouvrage libère les perceptions concernant « la mort », elle apaise les culpabilités que pourraient ressentir certaines personnes lorsque la mort leur arrache un être cher. Elle permet une déculpabilisation et une libération.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

J’ai beaucoup rédigé la nuit, l’inspiration étant la plus forte, je posais dans ces moments-là, mes sensations, les mots clefs et surtout couchait par écrit tous ce qui me semblait important, pour ensuite reprendre la formulation et étoffer le texte. 

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

J’ai un projet d’écriture : je souhaiterais pouvoir parler de la prêtrise chez les femmes, un sujet difficile et surtout qui est peu abordé par l’Eglise en général. C’est un sujet plus ou moins tabou, et pourtant les femmes ont toujours joué un rôle de second plan dans le ministère, à l’heure ou l’Eglise manque de prêtres, il serait plus que temps de créer des espaces où les femmes pourraient avoir leur place.

Le titre ressemblerait à « être femme et mère dans la prêtrise en 2022 »