A 14 ans

Jeune femme de 22 ans, vivant au rythme de la musique en dansant, je veux partager aujourd’hui une expérience que j’ai vécue, qui m’a blessée, et m’a fait perdre une partie de mon enfance, d’insouciance. Celle que je suis a des cicatrices internes et je souhaite partager ces pensées avec vous. Aujourd’hui je suis heureuse, j’ai mûri, grandi et accepté, et j’aimerai mettre cette partie de ma vie au service des autres.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Quand j’avais  14 ans, j’ai vécu ce que de plus en plus de jeunes de notre génération subissent. J’ai été harcelée, à l’école, le soir, tous les jours . A l’époque, seuls les mots que j’écrivais me soulageaient d’une certaine souffrance. Aujourd’hui j’ai 22 ans et cette cause me tient réellement  à cœur, et j’aimerai pouvoir aider ou soulager à ma manière.

Aider les jeunes qui sont concernés à trouver un peu de paix, les aider à retrouver une part de bonheur, et leur montrer que la vie vaut la peine d’être vécue. J’aimerai parler à cette nouvelle génération, en toucher quelques-uns, mais aussi leurs parents. En effet, les parents des victimes disent souvent être démunis face à ce phénomène et les victimes parlent peu. A travers mes mots (maux), je voudrai permettre à des familles d’avoir accès à certaines pensées, ce mal-être et pouvoir agir de façon plus concrète et diminuer ce sentiment d’impuissance.

Je ne dis pas que ce que je décris est universel mais  seulement que certaines personnes peuvent avoir ces pensées à cause d’un quotidien trop dur à encaisser.

Extrait

Maux d’ado.

C’est une chronique nostalgique qui apparaît ce soir, certains souvenirs remontent à la surface…
Vous savez, j’aimerai oublié certaines parties de ma vie, ces moments, qui, malgré les années demeurent éveillés.
J’avais quatorze ans quand j’ai compris que le bonheur n’était pas si facile à contrôler.
J’avais quatorze ans quand j’ai échangé les sanglots contre les stylos ;
J’avais quatorze ans que j’ai prononcé et imprimé mes premiers mots sur le papier…
J’avais quatorze ans quand l’enfer à commencé, j’avais quatorze ans quand ma vie s’est arrêtée…
J’ai conscience qu’il serait simple de juger mes mots comme étant partie prenante d’une simple crise d’adolescence mais croyez-moi, c’était tellement plus que ça…
J’avais ce sentiment que ma vie ne m’appartenait pas, je ne bougeais pas, ne parlait pas, du moins pas sans permission.
Tout m’était dicté, je ne le voulais pas, mais je n’avais pas le choix… Si vous saviez…
J’avais quatorze ans quand la plupart de mes surnoms me hantaient.
J’avais quatorze ans quand on m’a blessé, rabaissé, oublié…
J’avais quatorze ans quand j’ai commencé à sombrer…
Une partie de ma vie enlevée, explosée, inanimée.
Vérité bafouée, réalité controversée.
J’avais quatorze ans quand mon sourire s’est vidé, quand le bonheur s’en est allé. J’avais dix-huit ans quand je l’ai retrouvé .
Si aujourd’hui j’ai eu envie d’exposer ces pensées, c’est parce que l’adolescence est une partie de notre vie compliquée à exprimer, à vivre ou à conter Je veux pourvoir aider, d’une certaine manière, et peut-être allumer de nouveau cette lumière.
Tout est possible, tout passe, même le pire

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.