Éviter la guerre

Éviter la guerre est mon premier roman. Inspiré d’événements du réel, il est né d’une envie profonde de raconter une histoire d’amour entre deux êtres marqués par les blessures de l’enfance. À travers la chronique d’un amour fracassé, j’ai tenté de décortiquer la mécanique implacable de la rupture et d’explorer la dimension thérapeutique de l’écriture.
Je travaille actuellement à l’écriture d’un second roman sur le deuil, la transmission et la danse.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

1 578,00 de préventes
60 Contributeurs
0 Days Left
Préventes :
159.39%
Objectif : 990,00
Projet abouti !
Creator
1 Projet(s)

Historien de formation, fasciné par l’Orient arabe et la Méditerranée, j’ai exercé le métier d’enseignant puis de communicant avant de devenir chef d’entreprise. Au seuil de la cinquantaine, après avoir longtemps mis ma plume au service des autres, j’ai décidé d’écrire mes propres histoires autour des thèmes qui me sont chers (la famille, l’homosexualité, la guerre) en faisant mienne l’injonction de Georges Pérec de « ne pas séparer l’écriture de la vie ».

Éviter la guerre est un roman pluriel. Il parle de la fragilité du sentiment amoureux, d’enfance volée, de gémellité protectrice, de violence dévastatrice, de musique consolatrice, de voyage libérateur. Paul et Tarik vivent une intense histoire d’amour brutalement interrompue par le départ de ce dernier pour Bangui lors du déclenchement de l’opération Sangaris en décembre 2013. Confronté à l’absence de son compagnon, Paul se laisse gagner par la peur de l’abandon et la brûlure du manque. À son retour d’Opex, Tarik n’est plus le même. Témoin impuissant du viol d’adolescents par des soldats français, il miné par un mal insidieux que le ronge de l’intérieur. Paul, qui a rencontré un autre homme, est incapable de jouer la comédie des sentiments intacts. La rupture est inéluctable. Quelques mois après leur séparation, Tarik est mortellement blessé dans une bagarre avec d’autres militaires. Afin de se débarrasser du sentiment de culpabilité qui le hante et l’empêche d’aimer à nouveau, Paul entreprend un voyage à Istanbul, la ville natale de l’homme qu’il a mal su aimer.

Extrait

« Cette nuit-là, pour la première fois depuis ma rupture avec Stéphane, j’ai à nouveau aimé être aimé. Au petit matin, tandis qu’il dormait encore, j’ai pris le temps de contempler son visage assoupi, son torse puissant, ses cuisses poilues, son sexe épais et ses mains rugueuses. Puis, à l’aide de mon smartphone, j’ai volé une photo que j’ai mise en fond d’écran de mon ordinateur.
À son retour au régiment, Tarik n’a pas expliqué à ses camarades, contrairement à ce qu’il faisait lorsqu’il ne rentrait pas à la caserne, qu’il avait passé la nuit chez sa copine. Mais il n’a pas dit non plus qu’il s’était endormi et réveillé auprès d’un homme. Quoiqu’il s’en foutait pas mal au fond, il ne tenait pas à ce qu’ils sachent. Un mensonge par omission pour éviter une délicate explication, en somme.
Profitant d’une permission exceptionnelle, nous avons passé trois jours ensemble à se découvrir, à s’apprivoiser, à s’explorer, à apprendre à se connaître, à s’aimer jusqu’à la séparation, la toute première, la moins douloureuse parce qu’on sait qu’elle ne durera pas. »

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.