Ferrés au Cap
les hortensias rouges
Des souvenirs de l’été 1975 sur les bords du bassin d’Arcachon. Ce vol conjoint américano-soviétique, libérant nos esprits de la crainte d’une guerre mondiale ; deux sœurs elles en profitant pour transformer leurs querelles annuelles estivales en une série de drames.
Je vous propose d’être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

Né à Caudéran (la chaudière Caldera, en langue d’Oc), près de Bordeaux, j’ai suivi des études primaires au Bouscat (Oc boisé), puis secondaires au Lycée municipal de Bordeaux (nom Cdt Arnould, aujourd’hui Goya [Francisco Goya vécu ses dernières années à Bordeaux].
Service militaire dans l’est de la France en 1968, belle année d’espérances et de peurs [guerre entre les deux blocs].
Je suis rentré dans le monde du travail en 1970, mécanographie à Bordeaux [avant l’informatique !]. Puis j’ai intégré le département informatique et télécommunications de la Maaf à Niort, où j’ai contribué à créer le service de l’éditique [Édition + Informatique].
En novembre 1975, j’épousais au Bouscat une jolie « métisse -créole » de la région de Tamatave [Madagascar], rencontrée à Marseille durant une année d’étude [formation continue], pour acquérir un diplôme d’analyste-programmeur [développeur].
Cinq enfants, 2 garçons et 3 filles viendront ensoleiller une vie difficile, mais qui fut tout de même très joyeuses grâce au petit hameau de Montaillon [Deux-Sèvres] où nous sommes établis.
Deux sœurs nées dans une exploitation maraîchère de Bruges, ayant eu chacune une destinée différente à cause des soucis familiaux. L’aînée, bien que bachelière due rester sur l’exploitation pour aider un vieux papa dépassé, mais surtout veuf inconsolable.
Sa peste de petite sœur, à la santé fragile fera des études artistiques à Lyon ; ira en Italie d’où elle reviendra avec un bel amoureux, architecte Genevois protestant.
Hélène, détestera cette petite sœur toujours chanceuse, au point de devenir l’été parfois la maîtresse de son beau-frère. Lucette, la cadette, faisant tout pour rendre les rencontres familiales insupportables à chacun, parents, amis. Espérant réconcilier ses filles, leur père acheta à un proche une partie de la dune de l’Herbe, sur la presqu’île du Cap Ferret avant de quitter ce monde.
C’est là, en ce beau mois de juillet 1975, au cours d’une expérience scientifique remarquable, conjointe entre les États-Unis et les Soviétiques, qui nous libérait de la peur d’une troisième guerre mondiale, que le drame va se jouer dans cette famille bourgeoise.
C’est alors qu’il vaquait à ses occupations dans la propriété, qu’il crut reconnaître Martial, son copain d’enfance, qui avec ses collègues travaillait sur la départementale en haut de la dune.
_ Martial, Martial !
_ Tu es déjà là ! Vous venez plus tard d’habitude, tu as plus de boulot que l’année dernière ?
_ Non, mais tu sais, Hélène est de plus en plus exigeante pour la maison, le père Loustau a toujours plus de remarques à lui faire à son sujet et je sens bien que venir ici ne l’enchante guère. Surtout début août quand sa belle-sœur daigne nous rejoindre et que certaines discussions, comme celles traitant de l’enfance, entraînent des disputes à répétition.
_ Oui les deux sœurs se chamaillant, plus ou moins violemment au sujet du maraîchage et de l’entreprise. Lucette, la cadette souhaiterait vendre, ce qui lui permettrait de développer son activité d’architecte d’intérieur à Genève. Honnêtement je ne sais pas ce qu’est ce métier ; architecte je vois, mais d’intérieur ?
_ Il va falloir que je remonte, dit Martial qui tout en discutant avec Alain, l’avait accompagné jusqu’à la maison. Cette maison à un petit secret, je vais te le montrer.
_ Ah bon, un secret ? Mais moi il y a moins d’une heure j’ai découvert que Loustau avait fait protéger de l’intérieur toutes les huisseries. Entre les volets qui sont posés sur l’extérieur et les fenêtres il y a maintenant une sorte de cadre en fer ouvragé, très beau, dont le but semble d’empêcher toute intrusion ; tu savais ?
_ Non, mais j’ai l’explication.
_ C’est quoi ?
_ Bien qu’il n’y ait pas beaucoup de maisons de L’Herbe à la pointe, la gendarmerie a constaté l’an passé, des tentatives d’effractions plus ou moins abouties sur cette partie de la presqu’île. Aussi la commune a envoyé un courrier à tous les propriétaires leur demandant de se protéger. Loustau a fait poser ces cadres sans doute pour se préserver des voleurs.
_ J’ai encore cinq minutes, je te montre le secret !
Contreparties
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Une dédicace du livre en avant-première
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Une dédicace du livre en avant-première
- Le livre en format ebook
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Une dédicace du livre en avant-première
- Un second exemplaire à offrir à la personne de votre choix
- Le livre en format ebook
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Une dédicace du livre en avant-première
- Deux autres exemplaires à offrir aux personnes de votre choix
- Le livre en format ebook
- Votre nom de contributeur dans le livre
- Un remerciement spécial au contributeur en couverture du livre
- Une rencontre avec l’auteur
-
Les étapes de création
Mon objectif est d’atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l’impression et la promotion. C’est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, auteures, lecteurs, lectrices, amoureux et amoureuses des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.