Une journée ordinaire
de James Gluck
Féru d’écrivains plus classiques que modernes, j’ai dévoré des auteurs comme Hugo, Exbrayat, et la Bibliothèque verte… Gavé par ceux-ci, je me suis cru autorisé à commettre moi-même « quelque chose ». C’est un policier, un voyage dans le monde glauque de la drogue et du meurtre, quelquefois « sans rien de personnel ».
Je vous propose de participer à la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine avec les Éditions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus il sera promu et diffusé. En retour, vous y graverez votre empreinte et y serez mentionnés en page de remerciements (selon accord). Vous recevrez ainsi le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Une journée ordinaire ne l’est, en fait, pas du tout. Bien au contraire…
Cela commence par une journée d’hiver, banale. La vie de notre quidam ronronne jusqu’à ce qu’il rencontre un ancien amour, effeuilleuse à ses heures.
Comme disait Coluche, « c’est l’histoire d’un mec », et patatras, sa vie bascule sans qu’il ne l’ait voulu. Ses copains, ses femmes, ses connaissances ne sont pas ce qu’il croyait. Certaines cachent bien leur jeu. Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, on retrouve les trois S : Sang, Sexe et… Quant au troisième, je le laisse à l’appréciation du lecteur.
Extrait de Une journée ordinaire de James Gluck
Les BALO se mirent à rire.
– On est presque arrivé. On remonte toute l’impasse de la Faisanderie Royale, on les débarque et basta.
Bordasse referma la trappe. Secoué par des spasmes de rire, Larousse fit une embardée, ce qui eut pour effet de jeter Gabrielle sur le stagiaire. Il sentit la pression de ses seins sur ses mains. Natacha, quant à elle, posa ses deux mains attachées sur le sexe de Dubuisson.
– Belle bête, lui dit-elle.
Embarrassé par la situation, il ne fit plus attention à Bébert. Celui-ci, instinctivement, lui passa les mains autour du cou et serra avec les menottes.
– Ne le tue pas, il a un repas d’anniversaire, ce serait con qu’il meure avant.
Bébert desserra son étreinte. Il lui prit le pouls au niveau du cou.
– Il est juste évanoui. Vous croyez que c’est judicieux de le laisser en vie ?
Gabrielle ne releva pas. Elle se contenta de lui sourire, un sourire qui dévoila une rangée de dents blanches et bien alignées. L’atout de Gabrielle, c’était son sourire. Elle savait en user et en abuser pour séduire son monde.
– Il a dit qu’on allait remonter l’impasse de la Faisanderie Royale, demanda-t-elle à Bébert.
– Oui, madame.
– On va bientôt emprunter l’avenue de Cagliostro, alors. Accrochez-vous, ça va secouer.
Instinctivement, il se jeta au sol, les mains sur la tête. Gabrielle en fit autant. Natacha eut un temps de retard dans sa réaction, funeste erreur.
Afin de traverser l’avenue de la Marine, Bordasse activa son gyrophare et la sirène. Soudain, le fourgon pila.
« Mais bordel de merde, c’est quoi ça ? » Une autre voix voulut répondre, mais elle n’en eut pas le temps. Un poids lourd venait de surgir de l’avenue de la Marine et allait percuter violemment le fourgon. Sous le choc, celui-ci fit un demi-tour et le côté droit vint percuter le côté de la cabine du truck. Gabrielle et Bébert furent projetés à travers le fourgon. Natacha alla s’écraser sur le fond du fourgon. Elle tomba comme une pierre sur le sol, inconsciente.
Dubuisson, encore dans les vaps, vint se cogner la tête sur le bord du siège. Sous l’impact, l’arrière du fourgon fit un autre demi-tour. La porte arrière explosa et le stagiaire fut éjecté. Natacha fut retenue de justesse par ses deux acolytes.
La rue était déserte. Il alla rouler au centre de l’avenue de Cagliostro et fut arrêté dans sa course par une voiture en stationnement. L’avant du fourgon s’écrasa sur la cabine du poids lourd. Les deux policiers furent broyés dans l’habitacle. Le fourgon continua sa course sur le côté opposé de l’avenue et alla se ficher sur le parking de la salle de yoga, stoppé par une Mercedes, la seule en stationnement.
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Les étapes de création
L'objectif de cette campagne est d'atteindre 990 € de préventes, qui participeront à la diffusion et à la promotion du livre lors de son édition officielle. Auteur(rice), lecteur(rice) et amoureux(se) des mots, votre collaboration est valorisée pour faire de ce projet tant attendu, une belle réussite, grâce à l'équipe professionnelle des Editions Maïa. En précommandant, vous gravez votre empreinte dans cette œuvre originale et y inscrivez votre nom*. Vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne de prévente.
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