LA SENTENCE DE L’ANGE

Mon inspiration, les grandes tragédies FAMILIALES ; celui-ci, n’est pas le premier, en tant qu’auto éditeur, deux romans ont étés diffusés : « Le Cimetière des Papillons », thriller famille mafieuse sicilienne, et un roman d’amour (histoire vraie) « À l’ombre de la rose ».
Ma fabulation d’écrivain, vient de je ne sais où, pour autant, elle fait partie de mon univers sentimental qui se nourrit de la magie des mots.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Amour, trahison et Homicides AU PAYS DES CIGALES.

Une vengeance tardive, qui provoque un bouleversement obscur dans une famille de lavandiers, sous un ciel d’azur au pays PROVENÇAL, des innocents vont subir l’impensable! Un contraste à la fois lyrique, romantique, mais dramatique. Les fans de romans policiers sont nombreux, en particulier (LES LECTRICES) elles apprécient le SUSPENS haletant, et cela pour être surprises, À LA FIN DE L’HISTOIRE.

Extrait 1

moi et le surmoi ; théorie qui révèle notre comportement psychique en société, j’entendis frapper à la porte.
— Qui est là, demandai-je ?
Moi qui ce soir-là n’attendais personne, je reconnus alors Mado qui s’annonçait d’une voix frêle et oscillante. Lorsque j’ouvris, je la découvris, telle une effigie de marbre prise sous l’éclair d’un orage le visage livide et terrifié. Éperdue, elle se jeta dans mes bras et d’une intonation convulsée par les sanglots, elle me dit.
— Dis-moi, Ben, ça ne peut être toi qui as fait ça, non ce n’est pas possible, ce n’est pas toi ! répétait-elle obstinément les yeux inondés de larmes.
Pris de stupéfaction devant son comportement tragique et par défaut, incriminant, je lui rétorquai.
— Mais pourquoi tu es dans cet état… et de quoi tu parles ?
Mado me jeta un regard implorant et nerveusement elle m’invita à la suivre.
— Mets ta veste et viens vite !
— Pour aller où Mado ?
— Chez moi !
Nous étions le lundi 8 octobre 1990, il était vingt-et-une heures quarante-cinq.
Nous prîmes le métro et nous nous rendîmes dans son immeuble bourgeois, boulevard de Courcelles. Lorsque nous fûmes dans l’ascenseur, depuis le rez-de-chaussée jusqu’au troisième étage, Mado pleura comme une fontaine tout en m’enfonçant ses ongles dans le bras qu’elle tenait serré contre sa poitrine. Lorsque nous fûmes arrivés devant sa porte, exténuée, la main tremblante, le front ruisselant, elle essaya tant bien que mal d’introduire la clé dans la serrure. Son état d’énervement était tel que je compris alors qu’il avait dû se passer quelque chose de terrible.
— Mado, calme-toi s’il te plaît, lui dis-je tout en lui caressant les cheveux.
Après avoir évacué de ses poumons un spasme profond, elle reprit ses esprits puis, maîtrisant son geste, elle finit par ouvrir la porte. Elle m’entraîna directement dans la salle de bain, elle alluma et là, altérés, mes yeux hagards contemplèrent l’exécration. C’était le chaos. Tout était, ou presque, cassé : miroir, lavabo, rideau de douche en lambeaux, tabouret fracassé, et toutes sortes de flacons brisés jonchaient le sol. Plus désolant, sur le mur les traces de sang étaient encore fraîches.
Constat évident, après une lutte sans merci, l’agresseur, après l’avoir mis hors de combat, avait pendu sa victime sur le gros tuyau du chauffage là, où le corps immense du marchand de cercueils se balançait.
En cet instant, stupéfié, j’essayai d’analyser la situation. Déjà, je ne comprenais pas pourquoi Mado m’avait soupçonné d’être celui qui avait accompli cet effroyable carnage ?
Ensuite, et cela en quelques secondes, une succession d’interrogations, s’enchaîna dans mon cerveau : si c’est le même individu qui en veut à ma famille, pourquoi s’en est-il pris à lui ? Sans effraction, par quel moyen était-il rentré ? Qui lui avait dit que monsieur Le Eneck avait un contentieux avec les Barale ? L’homme des potences refusait-il qu’un autre accomplisse son œuvre vengeresse à sa place ? Comment avait-il su que Mado était absente ce soir-là et enfin, où s’arrêterait la sentence de ce criminel fantôme ? Machinalement, je me mis à inspecter dans tout ce qui pouvait ressembler à un vase, à un pot, pour y découvrir, éventuellement, le message de cet ange perfide qui aurait signé son crime, mais ma recherche resta infructueuse.
Déconcerté, je regardai Mado qui, épouvantée devant ce spectacle machiavélique, affichait une figure blême, les yeux congestionnés. Je la pris par la main, je l’entraînai jusqu’au salon, la fis asseoir et je lui servis un fond de verre de gin afin qu’elle reprenne un peu de couleur. À mon tour, j’en bus une rasade au goulot pour me remettre de mon état de choc.

Extrait 2

Dans les années 1969.
Une très belle jeune femme de vingt-sept ans, fille de lavandiculteur, lassée de la vie paysanne, quitte sa Provence natale pour aller rejoindre la communauté hippie, laissant derrière elle un chaos sentimental sulfureux tant elle avait eu d’amants. Depuis, parmi eux, hippies ou paysans ? Un homme trahi par le destin déclencha des représailles criminelles.
En cette folle période, insouciante, alors qu’elle était dans un état de grossesse qu’elle ignorait encore, la drogue, l’alcool et une libido sans frontières finirent par la faire plonger dans un tel déclin qu’elle négligea son instinct de mère lorsqu’elle mit au monde un garçon nommé Benjamin. Dépossédé de l’amour de sa génitrice et de son ascendance paternelle, Benjamin est recueilli par ses grands-parents maternels puis confiés à sa douce marraine.
En cherchant avec véhémence son géniteur fantôme, il est entraîné dans le tourbillon d’une enquête infernale suite à une série d’homicides au sein de sa famille. Décidé à se mettre dans la peau d’un détective, il va alors à la recherche du criminel avec cette idée fixe d’appliquer la loi du talion pour venger les siens.

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