Le Miroir de l’Âme est un roman mêlant enquête, mysticisme et quête intérieure. À travers une intrigue palpitante, il explore les liens entre les blessures du passé et les secrets de l’âme, révélés peu à peu comme les pièces d’un puzzle spirituel. Ce livre invite le lecteur à plonger dans un monde où l’intuition devient une boussole, et où chaque mystère résolu éclaire une vérité plus profonde. Son originalité réside dans la manière dont il tisse ensemble les codes du roman policier et ceux de la spiritualité, créant un genre à part entière : le thriller introspectif. Participer à sa création, c’est soutenir un projet qui ouvre les consciences tout en tenant en haleine. Il s’adresse aux lecteurs en quête de sens, d’émotions vraies et de suspense intelligent. Inspiré par les œuvres d’Agatha Christie, Mary Higgins Clark et les traditions spirituelles du monde, ce roman aspire à toucher le cœur autant que l’esprit.

Extrait du livre :

Au fil des jours, ils s’attachèrent à décrypter les meurtres. Trois victimes avaient été découvertes jusqu’à présent, toutes retrouvées dans des lieux emblématiques de Paris : une crypte oubliée sous la cathédrale Notre-Dame-de-paris, le Pont des Arts, la Basilique du Sacré-Cœur, ainsi qu’un ancien atelier d’alchimiste près de la rue Mouffetard. À chaque fois, le corps était positionné selon une mise en scène troublante, comme une offrande ou un passage rituel.

Les causes des décès variaient, mais une chose les reliait : les blessures mortelles semblaient infligées avec une précision presque chirurgicale, laissant supposer un tueur méthodique et érudit. Sur les scènes de crime, des symboles énigmatiques refaisaient surface : des formes géométriques complexes gravé dans la pierre au couvent, peintes en rouge sur les murs de l’atelier, dessinée au crayon noir sur la peau d’une victime, une autre comme tatouée au couteau.

Au départ, les victimes semblaient n’avoir aucun lien : des âges et professions variés, aucun cercle social en commun. Mais Célia découvrit un détail récurrent qui les unissait mystérieusement : chacune possédait un bijou ancien, une bague ornée d’un symbole identique, trouvée sur leurs corps ou à proximité. Cette bague semblait être la clé d’un pacte oublié, quelque chose qui les liait au-delà des apparences

Leurs recherches les conduisirent de lieux en lieux, explorant les profondeurs des bibliothèques obscures, les archives poussiéreuses de la Bibliothèque nationale, et les catacombes interdites de Paris. Peu à peu, les symboles dévoilaient un schéma initiatique précis, évoquant un antique rituel de pouvoir que le tueur semblait suivre à la lettre.