L’île profanée : Le cycle de Myrliëndor, livre I

Rémy Bac, né en 1972 à Bergerac, écrit depuis plus de trente ans. Après des études d’histoire et de philosophie, il travaille aujourd’hui dans le milieu associatif. Passionné d’heroic fantasy depuis l’âge de 14 ans, avec la découverte de Conan le barbare de John Milius (le film), du Seigneur des anneaux (le roman) et des jeux de rôles. Mais c’est aussi un littéraire, passionné de littérature antique et médiévale, et de mythologies. Il décide alors de réunir ses deux passions et de mettre sur papier une histoire se situant dans un monde imaginaire, à l’âge des dieux et des héros.

Nous vous proposons d’être acteur de la naissance de son livre en l’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus son livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus

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Rémy Bac signe ici son premier roman, renouant avec les sources du genre, s’inspirant aussi bien du « sword and sorcery » que de l’univers celto-druidique, des sagas scandinaves et des poèmes homériques, où s’affrontent héros, géants, dragons et sorciers.

L’île profanée est le premier livre d’une saga, « le cycle de Myrliëndor », pour laquelle l’auteur envisage deux autres livres, en préparation. Le livre II est déjà en cours d’écriture.

Il n’y a pas un seul héros, dans cette saga, mais plusieurs, aux destins divers, glorieux et tragiques à la fois. L’écriture du roman est de forme volontairement classique, et l’ambiance a une saveur volontairement pulp, faisant écho aux grands récits de l’antiquité et du moyen-âge, revisitée dans un mélange d’idéal chevaleresque et de « sword and sorcery ». Tous les amateurs d’heroic-fantasy devraient y trouver leur compte.

Extrait

« Maelrís et ses compagnons chevauchaient en se repérant par rapport aux constellations, selon les indications données par Kelduinn. A ses côtés chevauchaient également Boarwulf, Ursula, Olfred, Talinn, Gottard et Randáulf. Ils traversèrent une vallée encaissée, avec des hautes collines boisées sur les bords du chemin, et arrivèrent ensuite en contre-bas dans une sorte de grande plaine, ou plutôt une lande, où poussaient seulement çà et là quelques arbustes rabougris. Ils étaient dans le Nord-Est de l’île, partie encore non explorée. Les ruines d’une ancienne cité se trouvaient bien là, devant eux. L’architecture des habitations n’avait rien à voir avec celle du Myrliëndor, ni avec celle de l’Empire Slovar, ni avec celle de tout autre royaume hyperboréen. C’étaient des habitations assez hautes, pour certaines, à plusieurs étages, dont certaines étaient en forme de ziggourats. La cité semblait déserte, éteinte, sans âme qui vive, et autrefois protégée par une muraille, aujourd’hui en grande partie effondrée.
– Laissons les chevaux là, à la lisière de la forêt, dit Maelrís aux autres. Cette cité en ruines ne me dit rien qui vaille, et on ne fera pas prendre de risques à nos chevaux. Explorons à pied !
– Nous n’avons jamais eu vent en Myrliëndor d’une telle cité sur cette île, dit Gottard en descendant de son cheval. Même à l’époque où les prêtresses se sont installées.
– C’est comme si cet endroit avait ressurgi du passé, comme par magie, ajouta Olfred.
A ces mots, Boarwulf poussa un grognement, et serra le manche de sa hache. »

  • Les étapes de création

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