On n’est pas heureux quand on a dix-sept ans
Je m’appelle Marius Meffre et j’écris depuis toujours. On n’est pas heureux quand on a dix-sept ans parle de ces petits garçons qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas d’habitude. Ceux qui aiment différemment, qui cherchent leur place dans un monde qui ne leur laisse pas beaucoup d’espace. C’est une histoire d’amitié, mais surtout d’amour d’amour et de solitude, un roman sur les départs et les silences, sur ces garçons qui grandissent en se demandant s’ils ont le droit d’exister comme ils sont. Aujourd’hui, j’ai besoin de vous pour lui donner vie.
« Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus ! »

On n’est pas heureux quand on a dix-sept ans aborde des thèmes profonds comme le deuil, l’acceptation, l’amour, l’amitié et la question de l’identité dans une perspective LGBT+. Ce roman suit un jeune garçon qui cherche à comprendre ce qu’il reste après la perte d’un amour, comment accepter qui l’on est quand tout autour de soi semble incertain. Il se distingue par son approche singulière, atypique, capturant un flot de pensées communes, une sorte de reflet de ce que vivent ceux qui se sentent décalés, à côté de leur propre vie.
Les lecteurs trouveront ici un livre qui parle aux âmes en marge, à ceux qui se sentent souvent invisibles ou incompris. Participer à ce projet, c’est offrir cette histoire à ceux qui pourraient se reconnaître dans ces mots, que ce soit pour soi-même ou pour un proche, un enfant, un cousin, un ami, qui vit ce vide vertigineux de la différence. Ce livre s’adresse à ceux qui se sentent décalés, qui regardent les aiguilles tourner, à ceux qui cherchent à comprendre ce qui les sépare du reste du monde.
Inspiré par des auteurs comme Édouard Louis et Philippe Besson, ce roman vise à toucher l’intime de ses lecteurs, à leur offrir des mots qu’ils n’avaient pas encore trouvés.
Extrait
Parfois, j’aimerais façonner un inconnu, le transformer, qu’il te ressemble. Je te cherche dans tous les visages de ce monde. Dans la foule, je scrute les traits, j’écoute les rires, espérant retrouver l’écho de ta voix. Mais chaque fois, je me heurte à la réalité : aucun d’eux n’est toi. Aucun d’eux ne porte ce mélange d’odeurs de cigarettes, de cheveux bouclés et d’une douceur persistante.
Je m’imagine te parler encore, te dire combien tu comptais pour moi, combien je regrette de n’avoir pas su voir ta souffrance. Je fermais les yeux après avoir regardé l’heure sur mon iPhone : 14 h 43.
— Tu me manques toujours.
J’extirpai un anxiolytique et un somnifère de ma banane et les pris machinalement, le cœur lourd d’une mélancolie familière. Chaque comprimé semblait porter le poids de mes regrets, de mes souvenirs non-dits. Je fermai les yeux, espérant échapper à cette douleur insupportable, me perdre dans le silence, là où les pensées ne pouvaient plus me hanter.
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Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.