Entretien avec Sylvain Guinet auteur de L’Âme vagabonde

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

J’ai ressenti une profonde satisfaction, celle d’avoir mené à terme un projet qui dépasse la simple écriture. L’Âme Vagabonde n’est pas un livre comme les autres : c’est une œuvre vibratoire, une transmission de clés quantiques destinées à éveiller, à ouvrir des portes intérieures. Sa parution a marqué pour moi l’aboutissement d’un processus de canalisation, presque initiatique, où chaque mot portait une fréquence, une intention. Ce n’était pas seulement un accomplissement personnel, mais une offrande à ceux qui cherchent à se reconnecter à leur essence.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les premiers retours ont été positifs et touchants. Beaucoup m’ont confié avoir été profondément émus, certains même bouleversés par la justesse des mots et la résonance intérieure qu’ils ont ressentie. Plusieurs lecteurs ont exprimé le besoin de relire le livre une seconde fois, voire davantage, pour capter les subtilités qu’ils avaient manquées lors de la première lecture. Cela me confirme que le texte agit comme une onde : il se révèle progressivement, selon le niveau de conscience du lecteur.

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

L’expérience d’édition m’a appris à conjuguer l’intuition créative avec les exigences concrètes de la publication. Elle m’a permis de comprendre que l’écriture, aussi inspirée soit-elle, doit parfois s’adapter à des cadres éditoriaux, sans pour autant perdre son âme. J’ai découvert l’importance de la relecture, du rythme, de la structure, même dans une œuvre canalisée. Cela m’a aussi enseigné la patience, la rigueur, et surtout la joie de voir une idée vibratoire se matérialiser dans le monde physique.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

L’originalité de L’Âme Vagabonde réside dans sa nature multidimensionnelle. Ce n’est pas un récit linéaire, mais une exploration poétique et énergétique de l’âme humaine. Il mêle spiritualité, science quantique et langage symbolique. Les lecteurs sensibles à ces dimensions ont immédiatement perçu cette singularité. Certains m’ont dit qu’ils avaient l’impression de lire un texte vivant, qui s’adressait à eux différemment selon leur état d’esprit ou leur moment de vie. C’est cette interaction vibratoire qui, je crois, fait toute la particularité du livre.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Mon écriture est intuitive, presque médiumnique. Je n’utilise pas de plan, car chaque mot m’est envoyé comme une fréquence à capter. C’est une canalisation pure, semblable à celle que je pratique en composition musicale. Je me mets dans un état de réceptivité, souvent accompagné de silence ou musique, et je laisse venir ce qui doit être exprimé. Il n’y a pas de rituel figé, mais une disposition intérieure à accueillir. C’est une danse entre le visible et l’invisible, entre le verbe et le souffle.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Le prochain livre, intitulé Les p’tits pêcheurs, est en gestation depuis maintenant quatre ans. Il entre aujourd’hui dans sa phase de finalisation, porté cette fois par une écriture à quatre mains avec une autrice dont la sensibilité vibratoire résonne profondément avec la mienne. Ce récit marque une ouverture vers un public plus large, avec une tonalité plus accessible, tout en conservant cette profondeur émotionnelle qui m’est chère.