Entretien avec Alain Dovergne – L’aidant en thérapie

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

La parution du livre procure forcément une joie, il est le fruit de quelques mois ou années de travail, c’est comme livrer un produit fini que l’on aurait fabriqué de ses propres mains.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Le retour fut globalement positif mais vu le sujet il est difficile au lecteur de dire du mal de ce récit, même si j’ai reçu quelques lettres anonymes de lecteur dans la mouvance catho traditionnalistes. Les femmes ont particulièrement appréciées.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

Le livre traitait de ce que pouvait être la vie psychique d’un aidant, dans lequel j’abordais sans tabou le problème, et donc difficile d’y voir autre chose par le lecteur !

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Mon travail d’écriture n’a pas de rituel, ni d’astuce, la méthode est simple, un plan de départ que souvent je ne respecte pas, et du travail sans tenir compte des horaires, jour ou nuit…

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Oui un autre livre se termine sur la vie d’un jeune enfant dans les années 50/60. La vie parisienne, les trente glorieuses, la guerre d’Algérie dans le Paris ouvrier. Une observation à hauteur d’enfant. Texte de 150/160 pages.