Entretien avec André Astlyz – Princeps rex temporis – 1. Proto histoire

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

Fierté. Tout simplement. Fierté. Joie également. Tenir entre ses mains et lire son premier livre, c’est un sentiment assez singulier qui n’est pas désagréable.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les retours ont tous été positifs. Non pas que le livre soit sans défaut, évidemment, mais tous ont aimé. Ma professeur de théâtre, Madame Frédérique Francés, qui s’attendait à ce que le livre soit mauvais, étant le premier écrit, a dit être agréablement surprise quant à sa qualité. Une amie de longue date, qui elle n’est absolument pas habituée à lire des livres dans ce style, a quant à elle trouvé qu’il était accessible et plaisant à lire. Donc ça ne fait que renforcer ma satisfaction.

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

Je ne saurais honnêtement pas mettre les mots précis sur ce qu’il y a d’original dans mon livre. J’estime que cette histoire est originale parce que c’est la mienne. J’y ai mis ce que je voulais voir dans une fiction. Il y a mes idées, mes passions, ma vision mais également mes inspiration, mes références, certaines plus subtils que d’autres d’ailleurs, à des œuvres artistiques, aussi diverses soient-elles, comme à des évènements personnels. En réalité, l’originalité de ce livre s’explique en une phrase : J’ai écrit une histoire qui me correspond.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Je n’ai pas de méthode particulière d’écriture. Le seul conseil que je pourrais donner, c’est d’écrire pour soi-même avant tout. Si on est satisfait de son travail, et qu’on s’efforce à le faire correctement, en y prenant du plaisir, alors c’est déjà un grand pas vers la qualité. Toute idée n’est certes pas bonne à garder, mais il ne faut jamais se dire « Ah non si j’écris ça le lecteur ne va peut-être pas aimer. » ou « Si j’écris ça, peut-être que le livre ne se vendra pas. ». La passion de celui qui écrit et la cohérence de ce qu’il écrit doivent primer. Il faut aimer ce qu’on écrit ou ne pas écrire.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

Le prochain livre est déjà en cours d’écriture. N’oubliez pas que le livre qui est sorti est seulement le Tome 1. Sans compter les autres projets qui sont plus ambitieux les uns que les autres. Souvenez-vous bien du nom d’André AstLyz, parce que l’histoire ne fait que commencer.