Entretien avec Christian Huon – Le Lien

Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?

Quand mon livre est paru, j’ai eu la grande satisfaction d’un aboutissement au travail d’écriture auquel je m’étais livré.

Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?

Les retours de mes premiers lecteurs ont été très favorables ; ils ont apprécié l’alliance de la vie des personnages avec certains événements historiques et le fil conducteur de la Bretagne à travers les trois générations de ces mêmes personnages.

Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?

Mon expérience de l’édition n’était pas la première, mais la seconde. Mes enseignements : difficile de se frayer un petit chemin dans ce monde de l’édition !…

Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?

L’originalité de mon livre repose, je crois, sur le fait de personnages qui ont existé, tout en romançant intensément leurs vies et en entremêlent des passages historiques.

Cela a été très bien perçu par mes lecteurs.

Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?

Mon travail a été très décousu : parfois, 3/4 pages le même jour, puis, plus rien les jours suivants. Il me faut écrire sur papier avant de taper le texte sur ordinateur (d’où un grand retard lors d’une très mauvaise fracture de mon bras droit : 3 mois d’arrêt). De plus, je ne suis jamais content de mon texte que je rectifie sans cesse !

Rituels : quand je m’endors en pensant à mon bouquin …

Astuces : quand j’ai des remords pour être resté quelques jours sans écrire.

Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?

J’ai déjà entamé l’écriture d’un troisième livre : un roman qui se situera sur l’île d’Ouessant, au large de Brest.

Le fis d’un patron-pêcheur, devenu avocat, revenant sur son île natale pour défendre son père accusé d’un crime.