Quel a été votre sentiment quand votre livre est paru ?
J’ai ressenti la satisfaction de contribuer ainsi à mon très modeste niveau, à la nécessaire prise de conscience la plus large possible de l’enjeu mondial de la sauvegarde du lac Baïkal.
Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?
Les premiers lecteurs ont apprécié la démarche de vulgarisation scientifique qui a été la mienne.
Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?
Il est trop tôt pour que je puisse répondre pertinemment à cette question.
Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?
L’originalité de mon livre réside dans le fait que je l’ai rédigé comme un récit, ce qui facilite l’accès à des informations scientifiques austères.
Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?
Je n’ai pas de méthode particulière pour écrire, mais une exigence absolue, celle du silence, condition sine qua non à l’indispensable concentration.
Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?
Je n’envisage pas d’écrire un autre livre. Ce livre est mon quatrième. Les précédents sont des traductions de contes, rédigés en russe, issus de la tradition orale des peuples ayant précédé les Russes sur les rives du Baïkal.
Je suis en train de travailler sur la traduction de nouveaux récits, envoyés par mes amis du Baïkal. Mais je n’ai pas le projet de les publier. Le plaisir, laborieux, mais puissant, de tenter de bien traduire suffit à mon bonheur.