L’auteure s’attache à une philosophie face à l’existence. S’intellectualisant sur toutes les sciences existantes et même sur le sport, elle se porte garante de toute vie sur ce corps-planète, en acceptant toutes les réactions de ce monde comme les cellules le font dans nos corps. Aussi ses écrits se veulent pour tout lecteurs ou lectrices, dans ce qu’elle nomme la compréhension des arcanes du Monde sur la planète Terre, et l’humour qui est latent.

EXTRAITS

A l’inverse de tous les possibles
Tu avances par le temps invincible
Et lorsque mille trésors t’offrent leurs oripeaux
Tu coordonnes ta lice au fleuve de ton sceau
Ah ! Fier jeune homme dont la vie à moult souhaits
Et dont tout phénomène conjugue les attraits
Sibyllin qui se veut encore et toujours
Disponible d’avancées tout en étant retours
Ainsi toute épreuve t’est un songe divin
Mettant à profit les langues en leurs seins
Pour que naissent les outragées heures
Que ton esprit vaillant en construit aux demeures
Et un jour, las, de ne trouver que des quêtes et des réponses
Et gardant tes feux follets pour un soubresaut à l’ultime partance
Qui t’est destinée comme un puits sans fin dans des décombres
Ceux qui sont les relents de ton chemin en sa licence

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A l’article des jours confondus et livresques
S’amenuisent les marques que l’homme entreprit
Et confondues dans l’amer de sa lie
Elles dénotent quand même le fruit de ses tribulations dantesques
Lui qui veut toujours gagner sa part d’existence
Et sinon en gageure du moins envers la méfiance
Qu’il quitte souvent pour ni point revenir
Dès que sa vie tourne et qu’il sait applaudir
Alors comme une écluse son chemin participe
A d’attractifs attraits que portent ses muses
Et d’un rien il fait un tout dont il souhaite l’amuse
Et pour corroborer l’instinct à ses multiples pratiques
Et las un jour d’avoir mis en musiques
Et ses amours et sa vie politique
Par un revers de son sonnant destin
En trébuchant sur une pierre, il y mit sa fin

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