C’était hier
La vie s’écoule, comme un torrent sur les flancs d’une montagne escarpée. C’est l’expérience que fait Bernard lorsqu’il quitte Tunis à 13 ans, pour se retrouver à Paris à 68 ans à écrire sa vie. C’est un livre qui parle de la fuite du temps, avec la volonté de faire partager tous les moments forts qu’il a connus, avec ceux qui l’ont côtoyé.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Bernard a 13 ans quand il quitte Tunis. Il laisse derrière lui les parfums de la ville, les coutumes, les traditions familiales, et ses camarades de classe du lycée de Mutuelleville, pour rejoindre Paris où une nouvelle vie l’attend.
Il traverse les années qui le mèneront au bac, avec comme seule promesse d’avenir, la perspective d’un emploi de comptable. Il décide alors de partir en Israël, où il rejoint un kibboutz agricole dans le désert du Néguev. De retour, en France il fait des études supérieures pour être indépendant et exercer une profession libérale, puis créer son entreprise. Premier regard de son enfant : les moments de bonheur enfin arrivent.
Le voir grandir, s’épanouir, sourire. L’amour est bien là puis la vie continue avec son lot d’épreuves : la perte des êtres chers, et la fin de l’aventure professionnelle.
Il arrête à 62 ans, sans avoir rien préparé pour assurer la transition. Surviens alors, ce que certains appellent la traversée de la nuit noire de l’âme : pas d’activités, sa vie sentimentale se dégrade, presque plus d’interactions sociales et familiales. Il s’ensuit une descente aux enfers avec une dépression grave. Il part alors faire un voyage initiatique autour du monde à la recherche d’une réponse qui lui permettra de renouer avec l’amour de la vie.
Ce livre retrace la vie d’un homme qui raconte sa propre réalité. Beaucoup de personnes pourraient se retrouver dans ce récit.
Extrait
Dan m’affecta au poulailler sous la responsabilité de Zvi, un autre francophone, qui en avait la charge. Chaque matin, je me levais à six heures et commençais à travailler pendant une heure avant la pose du petit déjeuner. J’étais chargé de retourner à l’aide d’une pelle la sciure qui servait de litières aux poulets, et de m’assurer que les conduits d’eau fonctionnaient bien, ainsi que ceux qui alimentaient les mangeoires pour nourrir les poulets. En fait les poulets étaient élevés pour leur viande.
Le kibboutz achetait une livre israélienne de l’époque, c’est-à-dire 15 centimes d’euros environ, un poussin, et se chargeait de le faire grandir pendant huit semaines environ. Il était nourri avec des granulés faits de sorgho, de farine de poisson et maïs. Quand les poulets avaient atteint leur maturité pour être vendus, un camion venait de la ville pour les ramasser. Cela se passait généralement la nuit, car les poulets étaient presque endormis le soir. Ils étaient pris par leurs deux pattes et étaient chargés dans des casiers qui se trouvaient dans les camions. Une fois que le poulailler était complètement vidé, c’était un nouvel élevage qui devait se préparer.
-
Les étapes de création
Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.