Désespérance et résilience d’un maître d’école

« On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu’on n’en a qu’une. »
Confucius

Maître d’école depuis 37 ans, passionné par mon métier, la mienne commença le 21 septembre 2020. L’émotion du trépas accoucha d’une utopie résiliante, une nouvelle : Désespérance et résilience d’un maître d’école.

Je fais aujourd’hui appel à vous pour réaliser ensemble ce projet d’édition. Je vous propose de contribuer à la naissance d’un livre et de devenir des partenaires pour cette création. Votre nom en tant que contributeur sera présent dans le livre et vous recevrez le livre en avant-première !

1 147,00 de préventes
47 Contributeurs
0 Days Left
Préventes :
115.86%
Objectif : 990,00
Projet abouti !

 

Cette nouvelle est atypique, car écrite en 2026. Elle raconte un séisme personnel et professionnel, l’insuffisance respiratoire, l’hospitalisation, la réanimation, l’embolie pulmonaire, le sentiment de mourir pendant un instant. Et imagine l’utopie résiliante d’un plan B pour l’école, incarnée par la campagne présidentielle de 2022, celle d’Emmanuel Macron qui se réinventa.

Je vous propose de participer à la promotion de cette deuxième vie.

« Désespérance et résilience d’un maître d’école » nous raconte ce tsunami et décrit le quotidien, la réalité d’une école en REP. Désespérance devant une vie et une école en panne, résilience pour continuer et espérer à 5 ans de la retraite.

Extrait

« Lundi 21 septembre 2020

Il devait être deux heures du matin. J’étais allongé sur le ventre depuis 4 heures. J’avais mal aux lombaires… Je n’osais pas bouger. J’étais en réanimation à l’Hôpital Cochin pour un Covid-19 sévère.
Soudainement, brutalement, je n’arrivai plus à respirer. Je m’étouffai, je m’asphyxiai.
La chronologie de l’histoire me permet de penser que j’ai bien été infecté sur mon lieu de travail.
Quand je repense à cette histoire, je me dis que #PasDeVague ne devait pas être étranger au comportement discret de l’Éducation nationale à mon égard. Difficile de changer les habitudes. Lorsqu’on a failli s’éteindre, le devoir de transparence s’impose. #FaisonsDesVagues

Ma vie avait basculé sans m’en rendre compte. Le Covid fut un point de rupture, un moment de doute et d’introspection, une fêlure dans mes convictions personnelles et professionnelles. Des fissures apparurent. Rien ne serait plus comme avant.

Ma résilience s’incarne dans celle d’un président

Emmanuel Macron était un président hésitant qui souffrait du désamour d’une partie de l’opinion publique. Il en était sincèrement affligé, lui le premier de la classe n’arrivait pas à se faire aimer. Un pourcentage important d’électeurs l’admirait, mais ne l’aimait pas.
Anne Barrel, sa ministre de l’Enseignement en 2022, l’amie d’enfance du président lui parla du paradoxe scolaire. Elle lui présenta l’école comme un emblème : celui de la fracture sociale et économique de la société française.
— Emmanuel, si tu veux que la France t’aime et te soit reconnaissante, il faut t’ouvrir, lui parler avec ton cœur, lui dire qui tu es, sois empathique, sois équitable.
— Je fais quoi ?
— Représente-toi en 2022 avec un projet simple : réformer ce que personne n’a jamais pu amender : l’école, berceau de toutes les réussites et moïse de l’injustice sociale. Je te rappelle que le France a une école championne du monde des inégalités sociales… »

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de préventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels. Votre appui me sera précieux et vous recevrez vos contreparties dès la fin de la campagne.