Mon projet de livre, Katika – Treason is never far away, est un thriller mêlant ambition, trahison et enjeux économiques au sein d’une puissante entreprise pharmaceutique. L’intrigue suit deux jeunes hommes aux parcours contrastés, Mikhail et John, qui entrent dans le monde des affaires et découvrent rapidement les jeux de pouvoir qui régissent l’univers impitoyable de la finance. Ce roman se distingue par sa capacité à fusionner intrigue politique, critique sociale et développement psychologique profond des personnages.
Les lecteurs auront tout intérêt à participer à sa création, car Katika pose des questions essentielles sur l’éthique en entreprise, l’intelligence artificielle et l’impact des décisions des dirigeants sur la société. Inspiré par des thrillers économiques et des œuvres explorant le pouvoir et la corruption, ce livre s’adresse aux amateurs de suspense et de récits captivants où les choix moraux sont mis à l’épreuve.

Extrait du livre :

Jamais quiconque n’aurait imaginé deux jeunes hommes aussi différents se lier d’amitié, et pourtant nulle amitié ne paraissait aussi profonde et sincère que celle-ci.

D’un côté, un grand dadais brun au QI de 153 (selon les évaluations du psychologue consulté lorsqu’il avait 15 ans) et issu d’un milieu très défavorisé. Mikhail avait quitté la Tchétchénie avec ses parents alors qu’il n’avait que trois ans, un épisode de sa vie dont il ne garde aucun souvenir mais une attache culturelle forte avec la communauté tchétchène expatriée aux Etats-Unis.

De l’autre, de l’autre un séduisant jeune blond aux allures décontractées et un tantinet dandy du nom de John, intelligent mais dans le cercle de la moyenne humaine. Un détail qui ne lui causait en aucune façon un complexe d’infériorité par rapport à son meilleur ami. Au contraire, et pour cause : il est le fils unique du fondateur et propriétaire de Katika, leader du marché mondial de la production pharmaceutique.

Cependant, leurs différences ne leur importait que très peu, et encore moins en ce jour crucial dans leur vie, car l’un comme l’autre allaient débuter leur carrière dans le monde de l’économie et de la gestion. Après des études brillantes à Yale, les deux inséparables avaient été engagés au sein de l’entreprise du père de John, désormais à la retraite, sur recommandation de ce dernier bien évidemment.