LES INTERVENTIONS DU FONDS MONÉTAIRE INTERNATIONAL : UNE RESPONSABILITÉ LIMITÉE
Benjamin Hocque est docteur, économiste, professeur agrégé en Sciences économiques à l’Université d’Angers et à l’Université catholique de l’Ouest à Angers et professeur en Sciences économiques et sociales en Lycée. J’ai écrit plusieurs livres en sciences économiques à l’instar de « : Les Sciences économiques : de l’Université aux concours », publié chez les éditions Le Lys Bleu en avril 2022.
Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon cinquième livre, un livre qui remet en cause les idées reçues, en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
Mon livre traite d’un problème actuel et brûlant en économie internationale. Il s‘intitule : « Les interventions du Fonds monétaire international (FMI) dans les pays en développement : une responsabilité limitée ».
Ce livre remet en cause les idées reçues sur la gestion des pays en développement (PED) plus particulièrement les pays moins avancés (PMA) et les pays en voie de développement (PVD) en insistant sur la responsabilité des élites nationales de ces pays.
Cet ouvrage a pour objet de revisiter le « Consensus de Washington » de John Williamson sur certains aspects. Il s’agira de montrer que le « Consensus de Washington » n’est que partiellement responsable de la misère dans les pays pauvres, ce qui est loin d’être le discours officiel.
Mon approche, originale et percutante, se démarque nettement de la pensée unique et médiatique.
En effet, le FMI a une responsabilité certes engagée mais limitée même si les PAS (facteurs exogènes) ont conduit selon l’expression du Prix Nobel d’économie en 2001, Joseph Stiglitz, à la « Grande désillusion » et à la misère des populations.
Une responsabilité plus grande est à rechercher dans les comportements et les choix politiques des élites dirigeantes nationales (facteurs endogènes). Ces élites locales ont conduit des politiques économiques non soutenables et des choix intéressés par la part du gain et le pillage des rentes et des ressources nationales.
Ce livre est un outil efficace pour permettre aux étudiants et aux lecteurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances de leur apporter une certaine expertise sur l’économie du développement, d’affiner leur culture économique afin de comprendre ce monde globalisé autour des relations entre le FMI au travers des politiques d’ajustement structurel appliquées (PAS) dans les PED.
Extrait
Le Consensus de Washington est une réponse à la crise économique et financière des PED dans les années 1980. Les PAS définis sous l’égide du FMI ont permis des rééchelonnements et des renégociations des dettes et ont permis de restaurer la croissance économique dans les PED. Le FMI a donc une responsabilité limitée. Mais ces politiques d’ajustement structurel ont entraîné aussi la suppression de certaines subventions et la baisse de certains salaires notamment des fonctionnaires qui ont entraîné les troubles sociaux. La corruption, le clientélisme, les guerres civiles et la mauvaise gouvernance, autant de facteurs qui empêchent de sortir enfin et véritablement du sous-développement dans les PMA et certains PVD. Le Consensus de Washington est donc partiellement responsable de la misère dans les PED.
Le FMI est un instrument qui permet d’assurer la stabilité financière internationale. Dans notre réflexion, nous prendrons plusieurs exemples illustratifs de PED, en s’attardant davantage sur les pays africains, sans être exhaustif mais également, à la marge, deux exemples de pays de l’Union européenne (Grèce et Portugal) pour montrer le caractère rigide et standard des interventions du FMI au travers des PAS.
Dans les PED, la crise, la mauvaise gestion et la mauvaise gouvernance se poursuivent. La montée des mafias et des trafics illicites, une large corruption, un clientélisme et la « parentocratie » et la mauvaise gouvernance minent la croissance et le développement de ces pays notamment les pays les PMA et les PVD. Une responsabilité des élites dirigeantes dans la conduite des politiques économiques et sociales est très engagée. En somme les facteurs internes l’emportent sur les facteurs externes.
Une bonne gouvernance institutionnelle, démocratique et décentralisée fondée sur les « institutions fortes qui sont préférables aux hommes forts », selon la déclaration du Président B. Obama (2009).
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Les étapes de création
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